Faut-il avoir peur du tampon hygiénique ?

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dossier Dans un documentaire récent diffusé sur France 5, Margaux et Justine expliquaient la fatigue immense qu’elles ont d’abord ressentie, suivie de nausées, vomissements, rougeurs de la peau, gonflement de la langue, hypotension, emballement du cœur et les organes qui lâchent les uns après les autres. Les deux jeunes Françaises âgées respectivement de 23 et 26 ans témoignaient et osaient dire la mort qu’elles ont frôlée pour avoir mis un tampon…

« Si le flux menstruel est bloqué par le tampon dans le vagin et que dans celui-ci, il y a déjà le staphylocoque doré – entre 20 et 30% des femmes en sont porteuses –, celui-ci va utiliser le flux menstruel comme milieu de culture, se développer et libérer ses toxines dans le sang », explique le Pr Gérard Lina, microbiologiste du Centre national de référence des staphylocoques de Lyon. Si l’on sait que depuis l’an 2000, les cas d’infections au staphylocoque sont en augmentation, il est difficile de chiffrer précisément la responsabilité du tampon dans le choc toxique menstruel, le CTM, car souvent le bon diagnostic n’est pas posé. Ainsi Margaux s’est vue d’abord expliquer que sa vie sexuelle était à l’origine de son problème de santé.

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Dernière mise à jour: juillet 2017

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