Sur le plan à la fois de la prévention et du traitement du diabète, l’exercice physique joue un rôle clé. Chaque augmentation de l’intensité et de la durée de l’activité est bénéfique.
Des études ont suggéré que certains médicaments contre le diabète (antidiabétiques) pouvaient avoir un effet positif spécifique contre le risque de dépression. Il en va ainsi de la metformine. Qu’en est-il ?
L’association est étonnante : lorsqu’un chien développe un diabète, le risque qu’il en soit ainsi aussi chez son maître augmente sensiblement. Ce n’est pas le cas avec le chat. Comment expliquer cela ?
Le taux de vitamine D a été associé au risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Mais un autre paramètre important doit être pris en compte : la qualité du sommeil.
En cas de Covid-19, le diabète augmente sensiblement le risque de développer des complications graves. Tous les diabétiques ne sont cependant pas exposés de la même manière : certains facteurs renforcent la menace.
La consommation élevée de riz blanc peut-elle être considérée comme un facteur de risque nutritionnel de développer un diabète ? Des indicateurs en Asie le laissent craindre. Qu’en est-il ?
La polyarthrite rhumatoïde expose à un risque spécifique de développement d’un diabète. Les deux maladies semblent partager une voie commune : l’inflammation.
Qu’on se place sur le plan de la prévention ou du traitement, le poids fait toute la différence face au diabète. Il est particulièrement important de maîtriser son indice de masse corporelle (IMC).
Parmi les facteurs de risque de diabète, la faiblesse musculaire pourrait intervenir comme un élément important. Et dans ce contexte, la force de la poignée de main serait un bon indice.
Les patients diabétiques s’exposent à un risque nettement accru de développer une insuffisance cardiaque. Face à la menace de cette complication, un suivi étroit est indispensable, pour ne pas dire vital.
En termes de prévention et de contrôle du diabète, on évoque souvent l’alimentation, l’exercice, le poids…, mais relativement peu le stress. Or, il pourrait jouer un rôle important.
De plus en plus de recherches indiquent qu’il est possible d’inverser le diabète (DT2) en mangeant plus sainement, en pratiquant plus d'exercice et en perdant du poids. Il serait crucial d'intervenir de manière drastique le plus tôt possible après le diagnostic et l'âge des patients jouerait également un rôle important.
Fruits, légumes et grains entiers : ces trois priorités alimentaires contribuent à réduire sensiblement le risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Le fait d’augmenter un peu les apports exerce déjà de réels bienfaits.
Le syndrome métabolique, notamment caractérisé par une obésité abdominale, est associé à une augmentation du risque de développer certains types de cancer : celui de la vessie vient s’ajouter à la liste.
Médicament largement utilisé, et de longue date, dans le traitement du diabète, le mode d’action de la metformine recèle encore des inconnues. Une nouvelle pièce est ajoutée au dossier : sa contribution à l’élimination du sucre.
Les bénéfices de l’allaitement au sein sont nombreux, tant pour la maman que pour l’enfant. Chez la femme, un effet très positif est observé sur le plan métabolique, et en particulier contre le diabète.
Le diabète de type 2 (DT2) peut provoquer une atteinte directe du coeur, conduisant à l’insuffisance cardiaque, et ceci sans que d’autres facteurs de risque contribuent à ce processus.
Le surpoids et l’obésité sont identifiés comme des facteurs majeurs de risque de diabète. Les années durant lesquelles on a présenté cet excès de poids interviennent de manière déterminante.
On sait qu’en cas de poids trop élevé, le fait de maigrir diminue considérablement le risque de diabète. Il s’avère qu'il en va ainsi aussi quand l’indice masse corporelle (IMC) est satisfaisant.
Les personnes diabétiques présentent un risque plus élevé de souffrir d'une maladie ou d'un accident cardiovasculaire. Dans un contexte de prévention, la consommation fréquente de noix et de fruits à coque peut être très bénéfique.
Une perte de poids de 10% dans les cinq ans qui suivent le diagnostic de diabète peut permettre d’enclencher une rémission de la maladie, et ceci sans très gros effort.
La taille d’un individu et la longueur de ses jambes sont associées à la probabilité de développer un diabète : les « grands » seraient moins à risque. Mais pourquoi ?
Le fait de réduire considérablement ses apports en sucre peut-il prévenir le diabète de type 2 (DT2), ou permettre d'en guérir ? Les choses ne sont pas si simples que cela. En fait, peut-on vraiment dire que le sucre est la cause du diabète ?
La pratique de la course à pied exerce un effet préventif contre le risque de diabète, et plus on pratique cette activité physique, plus le bénéfice se renforce. Un exercice à recommander, donc.