L’anorexie et la boulimie sont des troubles du comportement alimentaire bien identifiés. Mais le culte de la minceur, de l’apparence, cause des ravages plus sournois et souvent ignorés.
L’homophobie serait une conséquence relativement fréquente d’une homosexualité refoulée : l’attitude des parents interviendrait de manière déterminante.
Les (grands) amateurs de crème glacée en demandent toujours davantage : c’est que leur cerveau réagit de la même manière qu’en cas d’addiction à une drogue.
Deux anesthésies générales ou davantage, avant l’âge de 3 ans, augmentent le risque de développer un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).
Dans les mois qui ont suivi la fusillade au collège Dawson (Montréal), un nombre important d’étudiants sont devenus dépendants à l’alcool et à la drogue.
L’alimentation aurait un lien avec le TDAH (trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité). Mais une intervention nutritionnelle est-elle pour autant utile ?
Le trouble obsessionnel compulsif (TOC) affecterait davantage les adultes hypersensibles durant leur enfance, et déjà (très) attentifs à l’importance des rituels.
L’ocytocine est connue pour accélérer l’accouchement. Mais cette hormone joue aussi un rôle important dans les interactions sociales. En spray nasal, elle rend ses utilisateurs euphoriques.
La qualité de la fonction sexuelle de l’homme est encore trop souvent définie en ne tenant compte que des paramètres érectiles. Ce qui revient à négliger la... qualité de l’orgasme.
Les troubles de l’attention pénalisent bien davantage les résultats scolaires que l’hyperactivité. Mais ils suscitent moins… l’attention des enseignants.
La citrulline, que l’on retrouve principalement dans la pastèque, induit des effets bénéfiques en cas de troubles de l’érection, nous apprend une étude italienne.
Lorsque l’âge du père est supérieur à 35 ans au moment de la conception, le risque pour l’enfant de souffrir de schizophrénie augmenterait sensiblement.
Des chercheurs britanniques ont cerné les spécificités de la grossesse chez les femmes qui ont souffert de troubles sérieux du comportement alimentaire.
Certaines pilules, certains médicaments et, également la pré-ménopause et la ménopause peuvent entraîner une baisse de la libido mais aussi un manque de lubrification vaginale.