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Maladie de Parkinson : l'espoir de la génétique
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Des chercheurs européens et américains viennent d’identifier cinq nouvelles zones chromosomiques impliquées dans le développement de la maladie de Parkinson. Un espoir, tant le sur les plans diagnostique et prédictif que, peut-être, thérapeutique.
Les résultats de ces travaux insistent donc sur le rôle primordial des prédispositions génétiques dans l’apparition de cette maladie neurodégénérative. Cinq études ont été réalisées auprès de quelque 5.000 patients souffrant de ce trouble, qui ont été comparés à 12.000 personnes exemptes. Au total, ce sont près de 8 millions de variants génétiques qui ont été passés au crible. Selon les spécialistes, les variants sur les gènes MAPT et SNCA sont à eux seuls responsables de 30% du risque de développement de la maladie de Parkinson.
Ils expliquent : « L’identification de ces facteurs génétiques impliqués dans les formes les plus communes de la maladie de Parkinson va permettre non seulement des avancées importantes dans la compréhension de la physiopathologie de cette maladie neurodégénérative, mais aussi le développement d’outils diagnostiques et pronostiques ».