Andropause : les hommes savent pourquoi
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Non, l’andropause n’est pas une fatalité. Plutôt une injustice : alors que toutes les femmes doivent, un jour ou l’autre, composer avec la ménopause, seuls 5 à 10 % des hommes souffriront d’andropause, c’est-à-dire d’une diminution de leur « imprégnation » en testostérone, l’hormone mâle par excellence.
Ce qui signifie que lorsque les hommes consultent pour des tas de bobos de gravité diverse, si les symptômes qu’ils décrivent ne sont pas liés à une baisse de leur taux de testostérone, c’est qu’ils ne sont pas atteints d’andropause. Leurs plaintes sont dans ce cas davantage les conséquences d’un vieillissement naturel et seront traitées comme telles.
Par ailleurs, alors que la ménopause entraîne chez les femmes une interruption brutale de la production d’œstrogènes et de progestérone, les hommes, eux, ne voient leur taux de testostérone baisser « que » d’environ 10 % par décennie, à partir de 40 ans, parfois plus tôt. Et quoiqu’elle décroisse – car la qualité des hormones encore fabriquées diminue – la fertilité existe toujours.
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