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Le cap de la quarantaine pousse une large proportion d’hommes et de femmes à s’interroger sur leur mode de vie et, pour beaucoup, à modifier certains comportements.
L’enquête a été réalisée en Grande-Bretagne, auprès de quelque deux mille personnes. Le résultat le plus frappant montre que c’est en moyenne vers l’âge de 39 ans que l’on commence à se poser de sérieuses questions sur l’évolution de son état de santé et sur la manière dont on « gère » son organisme. Et à partir de là, la moitié des répondants (dans ce sondage) affirment avoir modifié certaines habitudes.
Quels changements ? (par ordre décroissant)
• Consommer plus de fruits et de légumes
• Pratiquer davantage d’exercices physiques
• Respecter un régime alimentaire mieux équilibré
• Manger moins de fritures ou de plats préparés
• Réduire sa consommation d’alcool
• Prendre des suppléments de vitamines (ou autres)
• Essayer de se relaxer, de s’accorder du temps pour soi
• Arrêter de fumer ou diminuer sa consommation de tabac
Qu’est-ce qui a déclenché cette prise de conscience ? (par ordre décroissant)
• Commencer à sentir le poids des ans
• Souffrir d’un problème de santé mineur
• Considérer les 40 ans comme une étape clé dans l’existence
• Un problème de santé sérieux
• Un ami est tombé malade en raison de son style de vie
• Le décès d’un ami ou d’un membre de la famille
• Les mises en garde d’un médecin
• Une émission de télévision
• Un article de journal
• Des recherches sur Internet
Un élément très intéressant porte sur le fait que près de sept répondants sur dix disent regretter de ne pas avoir adopté plus tôt des comportements sains ou de ne pas avoir corrigé ceux qui ne l’étaient pas. La moitié se demandent si quoi qu’ils fassent, les dommages ne sont pas irréversibles. La réponse est que des changements positifs, quel que soit l’âge où ils interviennent, ne peuvent qu’être bénéfiques.
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