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Les conséquences sexuelles de la ménopause
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Les modifications hormonales en pré-ménopause mais surtout en période de ménopause et après sont assez importantes. La femme bien entendu doit composer avec le fait de ne plus être réglée « naturellement » et aussi de ne plus être apte à procréer. Certaines se sentent littéralement libérées et peuvent dès lors jouir d’une sexualité sans contraintes alors que d’autres accusent mal le coup. Tout est au cas par cas.
Il faut bien entendu aussi composer avec des changements physiques : prise de poids, affinement de la peau, apparition de tâches de vieillesse, perte d’élasticité et de tonicité de la peau, relâchement musculaire au niveau de la silhouette, bourrelets,troubles de l’humeur avec parfois dépression, irritabilité, insomnie, ostéoporose, etc.
Et les organes sexuels ne sont pas en reste. L’utérus, les petites et les grandes lèvres, le vagin et les seins deviennent moins élastiques et moins toniques. La muqueuse vaginale s’affine avec une sécheresse vaginale rendant parfois la pénétration et les rapports sexuels moins épanouissants et/ou douloureux. Il peut même en découler certaines érosions. Cela peut être évité avec l’utilisation d’un gel lubrifiant. La ménopause peut aller de pair avec une chute de la libido. Les femmes ménopausées mettraient davantage de temps avant d’atteindre un orgasme. La qualité des orgasmes est également différente. Ils deviendraient moins intenses et surtout beaucoup plus courts. La contraction des muscles du plancher pelvien est également nettement moins intense.
Enfin, à la ménopause et en vieillissant, le vagin, les petites lèvres et le clitoris ne réagissent plus de la même façon lorsqu’ils sont stimulés. Le clitoris est moins sensible. Tout comme les seins et les tétons.
Sources : entre autres www.sensoa.be