Le mal de tête est sans doute le symptôme le plus accablant d’une crise de migraine. Comment le patient peut-il réagir, par des mesures non médicamenteuses et/ou avec quels antidouleurs ?

Si on ne connaît pas exactement la cause de la céphalée en grappe, une forme de mal de tête particulièrement pénible, une série de facteurs de risque ont été identifiés. Quels sont-ils ?

Certaines maladies ou d’autres types de problèmes de santé physique augmentent le risque de suicide, et ceci même en l’absence de trouble mental.

Un indice de masse corporelle (IMC) trop élevé ou trop bas est associé à une augmentation du risque de souffrir de migraine. Question : retrouver un poids santé permet-il de lutter contre les maux de tête ?

En complément du traitement classique, l’acupuncture pourrait s’avérer utile pour réduire la fréquence des crises de migraine.

Le mal de tête fréquent, et en particulier la migraine, augmenterait le risque de développer une hypothyroïdie.

La migraine avec aura augmente sensiblement le risque de souffrir d’un accident vasculaire cérébral : un suivi attentif des patients est nécessaire.

Un grand nombre de facteurs peuvent déclencher une crise de migraine. Et si en fait, ils présentaient tous la particularité de générer du stress oxydatif dommageable pour le cerveau ?

La migraine, et plus largement les maux de tête, affectent une proportion très importante d’enfants et d’adolescents. Une brochure d’information donne des conseils pour leur venir en aide.

L'expérience de nombreux patients est confirmée par des études scientifiques : la caféine peut agir très efficacement pour limiter la crise migraineuse. Une tasse de café ou un verre de coca : une solution à tester.

La méditation de pleine conscience (mindfulness) semble agir favorablement contre la migraine, en termes de fréquence et d’intensité.

De quelles solutions la femme enceinte migraineuse dispose-t-elle pour soulager ses crises ?

La fréquence des crises de migraine augmente proportionnellement aux niveaux de stress auxquels la personne est confrontée.

L'amnésie globale transitoire se traduit par une perte soudaine de mémoire. Comment le diagnostic est-il posé et existe-t-il un traitement ?

Une association a été établie entre les pleurs excessifs du nourrisson et le risque de migraine plus tard dans l’enfance.

Si l’acte sexuel est identifié comme un facteur déclenchant de crises de migraine, il semble qu’il puisse aussi soulager le mal de tête.

Les femmes souffrant de migraine avec aura s’exposent à un risque relatif trois plus élevé de souffrir d’un accident cardiaque ou cérébral.

Les personnes sujettes aux maux de tête s’exposent à un risque (sensiblement) accru de souffrir d’une crise lors d’un orage.

Si les crises sont extrêmement douloureuses, la migraine ne semble cependant pas affecter les facultés cérébrales sur le long terme.

Les femmes migraineuses se distinguent des patients masculins par une configuration et une réactivité particulières de leur cerveau.

Afin d'évaluer la fréquence, l'intensité des crises de migraine et l'invalidité qu'elles entraînent et cerner le traitement le mieux adapté, les professionnels de la santé recourent au test MIDAS.

Les maux de tête sont associés à une baisse du désir et à des douleurs durant les relations sexuelles.

Les mères migraineuses sont trois fois plus susceptibles de mettre au monde un bébé qui souffrira de coliques.

Certains aliments ou certains plats peuvent déclencher une crise de migraine. Que faut-il bannir de votre assiette ?

Le port de lunettes aux verres teintés peut présenter un intérêt pour la prévention des migraines. Mais ce n’est pas une solution miracle.

La moitié des enfants souffrant d’un certain type de migraine, appelée « aura migraineuse », présentent un « trou » au cœur.

Les patients obèses souffrant de migraine tirent un grand bénéfice de la chirurgie bariatrique, qui permet de réduire la fréquence et l’intensité des crises.

Les patients souffrant de migraine chronique présentent, dans les muscles du visage et de la nuque, des zones très sensibles qu’un anesthésiant local ou du Botox parviennent à neutraliser.

Dans quatre cas sur dix, un mal de tête – de type céphalée de tension ou migraine – ne nécessite pas de traitement spécifique.