Nous avons tous connu cela : spontanément, un air musical nous revient en mémoire et nous trotte dans la tête. Comment expliquer ce phénomène ?

Un chirurgien qui opère en musique aurait le geste plus précis. Mais l’ambiance dans la salle d’opération ne serait pas forcément si détendue que cela…

Certaines périodes sont plus compliquées que d'autres : moral en berne, coup de fatigue, manque d'envie... Pour aider à surmonter ces moments difficiles, voici cinq conseils simples et naturels.

Pour se débarrasser d’un air qui se répète de manière insistante dans la tête, une technique efficace consisterait à mâcher du chewing-gum.

Une intervention sous anesthésie locale stresse de nombreux patients : des moyens simples peuvent contribuer à les détendre.

La musique touche-t-elle d’une manière similaire un auditeur pygmée et un occidental ? La réaction est-elle plutôt universelle ou davantage déterminée par la culture ?

L’émerveillement exerce une influence bénéfique sur la santé : ces émotions positives régulent des fonctions importantes de notre organisme.

Une équipe japonaise a mis au point un système qui permet de jouer du piano uniquement avec les yeux.

L’apprentissage et la pratique d’un instrument de musique renforcent des zones cérébrales importantes chez l’enfant, ce qui améliore toute une série de fonctions.

De nombreux chirurgiens opèrent en écoutant de la musique. Une petite playlist a été concoctée pour les guider dans leur choix.

On appelle cela le headbang (ou headbanging) : ce type de danse est rythmé par de violents mouvements de la tête en cadence avec la musique. Mais attention aux conséquences…

L’apprentissage et la pratique de la musique améliorent une série de capacités tant chez l’enfant que chez l’adulte.

L’enseignement de la musique soutient l’apprentissage de la lecture et de l’écriture chez le jeune enfant.

Le fœtus est très réceptif aux sons : la musique douce contribue d’ailleurs à son développement cérébral.

Une ambiance musicale agit très favorablement sur l’anxiété ressentie par les patients. Une méthode simple pour des résultats probants.

Ecouter de la musique tout en pratiquant une activité physique agit directement sur les capacités musculaires.

Etonnant : la prestation d’un musicien classique est appréciée au moins autant par sa gestuelle que par l’aspect purement sonore.

La musique comme outil thérapeutique ? Des spécialistes explorent en tout cas ce potentiel, qui pourrait déboucher sur des traitements spécifiques.

La musicothérapie agit de manière très bénéfique pour un enfant prématuré, comme pour ses parents.

Les patients accueillis en unité de soins intensifs tirent un réel bénéfice de l’écoute de musique classique.

Voici quelques conseils pour profiter de la musique lors des concerts et des festivals sans pour autant exposer vos oreilles à des troubles auditifs.

Les préférences musicales à l’adolescence constituent un élément important de l’identité et, dans certains cas, un marqueur fort de l’évolution du comportement.

Une nouvelle technologie, basée sur la diffusion de tonalités musicales particulières, semble apporter une aide spectaculaire aux personnes souffrant d’insomnies.

Partager avec son bébé des expériences musicales contribue à améliorer ses capacités de communication, tout en l’apaisant.

La diffusion de musique alors qu’une personne dort l’aide mieux emmagasiner les informations.

Une ambiance musicale déchaînée, avec les amplis à fond, rend l’alcool plus facile à consommer. En fait, il semble alors moins « fort » au goût.

La musicothérapie, associée à des techniques de relaxation, améliorerait considérablement le bien-être des patients souffrant de fibromyalgie.

La pratique d’un instrument de musique dès le plus jeune âge aide à prévenir le déclin de l’audition et de la mémoire auditive jusque très tard dans l’existence.

La musique n’est pas indispensable à notre survie et n’a pas d’effet chimique direct sur notre cerveau, contrairement par exemple au tabac ou aux drogues psychoactives. Mais, mais...

En examinant de près les instruments de musique d’une fanfare de collégiens, un chercheur américain a décelé la présence de plusieurs centaines de germes, susceptibles pour beaucoup de déclencher des infections.