Les femmes qui allaitent présentent un risque réduit de souffrir d’une dépression post-partum. Celles qui veulent mais ne peuvent pas sont les plus exposées.
Des chercheurs remettent en cause la notion d’intervalle idéal entre deux grossesses, un principe de précaution contre une série de risques pour le bébé et la maman.
Les césariennes dites de confort ou de convenance, donc non justifiées médicalement, sont en augmentation. Mais elles ne vont pas sans risques immédiats et lors de la grossesse suivante.
Les bouffées de chaleur affectent de nombreuses femmes péri-ménopausées. Beaucoup sont à la recherche de solutions non médicamenteuses. L’acupuncture pourrait les aider.
Jusqu'au 28 septembre, la Ligue cardiologique belge organise la 35ème édition de la Semaine du Cœur. L'occasion de sensibiliser la population à la détection précoce des facteurs de risque de maladie cardiovasculaire. Et les chiffres peuvent aider !
On considère habituellement que le risque de dépression post-partum (ou post-natale) marque les premiers mois qui suivent l’accouchement, puis s’estompe progressivement. Cette approche doit être nuancée.
Le régime nutritionnel de la femme enceinte influence le risque d’accouchement prématuré : la consommation d'une série d'aliments doit être encouragée.
Un produit autobronzant peut-il avoir des conséquences pour l'enfant en cours de grossesse ? A priori non, mais il faut néanmoins faire preuve de prudence.
Le lupus érythémateux (appelé communément lupus) est une maladie auto-immune, lorsque le système immunitaire s’attaque aux tissus conjonctifs. Quels en sont les formes, les causes et les symptômes ?
La peur d’accoucher constitue un facteur de risque significatif de dépression post-partum, avec des conséquences (très) nuisibles tant pour la maman que pour le bébé.
En raison de la baisse de la production d’hormones, il est fréquent qu'à la ménopause, les femmes prennent du poids et en particulier du ventre. Comment l'éviter ?