Qualité de l’air chez vous : où trouver les informations ?
news Particules fines, dioxyde d'azote, ozone... : il peut être (très) important de connaître les concentrations de ces substances dans l'air ambiant du lieu où vous vous trouvez, en particulier si vous souffrez de problèmes respiratoires ou cardiovasculaires, ou si vous devez effectuer une tâche physiquement exigeante. Où se procurer ces informations sur Internet ?
1° - Sur le site de CELINE (Cellule interrégionale de l’environnement), vous pouvez accéder à des cartes et à des tableaux détaillés pour toute la Belgique, avec les mesures actualisées (moyennes horaires) de particules fines, dioxyde d’azote (NO2) et ozone, ainsi que les prévisions pour les heures et les jours à venir. Ces données sont constamment réactualisées. Les mesures de qualité de l’air sont exprimées en concentration de microgrammes par mètre cube (µg/m³) ou en masse par unité de volume. Outre le seuil d’alarme (70 µg/m³) pour les particules fines, trois régions ont décidé d’introduire une information sur le seuil (50 µg/m³) atteint quand les conditions suivantes sont réunies :
• Les concentrations mesurées sur une période de 24 heures sur toutes les stations de la région sont supérieures à 50 µg/m³.
• La probabilité que les concentrations restent au-delà de cette limite pendant 24 h. Quand le seuil est dépassé, le site envoie un message avec des informations sur la qualité de l’air actuelle et future.
L’alarme SMOG est activée lorsque le seuil risque de s'établir au-delà de 70 µg/m³ pendant au moins deux jours.
Pour consulter ce site : cliquez ici.
2° - Sur le site aqicn.org, vous pouvez consulter en temps réel la qualité de l’air d'une sélection de villes et de communes de Flandre, Bruxelles et Wallonie, ainsi que de nombreuses villes étrangères. Le site propose des informations sur la quantité d'une série de substances (particules fines PM2.5 et PM10, NO2, SO2, CO...). Les données sur la qualité de l’air proviennent de CELINE. Les chiffres publiés ne sont pas des « niveaux » mais des « indices ». Les données sont donc d’abord converties en nombres pour condenser les concentrations de divers polluants en une seule figure.
Pour consulter ce site : cliquez ici.