- dossierEndométriose : quels sont les symptômes les plus fréquents ?
- dossierÉpine calcanéenne : symptômes et traitement
- dossierLe secret d’une sexualité épanouie se passe entre vos deux oreilles
- dossierSédentarité : tableau pour calculer le niveau d'intensité de vos activités physiques
- nieuwsPlaisir et style à Tenerife
L’exercice physique, l'allié de l'érection
news
La pratique régulière d’une activité physique est associée à de bien meilleurs scores de la fonction sexuelle chez les hommes.
Cet impact positif est observé, en relativisant selon les cas, quel que soit l’âge, la consommation ou pas de tabac, la présence d’une maladie cardiovasculaire ou d’un diabète… En d’autres termes, il s’agit d’un paramètre indépendant, avec une influence importante et spécifique. C’est ce qu’a conclu cette équipe américaine (Cedars-Sinai Medical Center) en croisant les scores de la fonction érectile avec l’intensité de la pratique sportive exprimée en équivalent métabolique (MET) sur une base hebdomadaire. Plus le MET est élevé, plus la dépense physique est importante.
Les participants ont été répartis en quatre catégories : pas actifs, peu actifs, moyennement actifs et très actifs. Ce dernier groupe correspond à deux ou trois heures d’activité physique intense (course à pied rapide, par exemple) par semaine.
Le résultat montre qu’en moyenne, les hommes sportivement très actifs présentent un score de fonction érectile supérieur de 30% par rapport aux sédentaires et aux peu actifs. Un bénéfice modéré est observé chez les moyennement actifs.
Ce qui revient à dire que la pratique sportive (relativement) intense peut contribuer à améliorer - si nécessaire - ses capacités sexuelles, et même si elles sont optimales, cela ne fera certainement pas de tort...