Si tout le monde n’a pas besoin de vider un pot entier de pâte à tartiner au chocolat pour se remonter le moral, il semble qu’il existe des différences générales dans la façon dont les gens font face aux événements bouleversants qui les affectent, certains étant plus susceptibles de trouver du réconfort dans la nourriture que d’autres. Pourquoi ?

L’incidence de certaines infections sexuellement transmissibles (IST - les « maladies vénériennes ») a augmenté de façon exponentielle depuis 2010. Aujourd’hui, tous les signes d’épidémie sont bel et bien là pour certaines d’entre elles, comme la chlamydiose, la gonorrhée (aussi appelée gonococcie ou blennorragie), et la syphilis.

Le cerveau n’a pas de nocicepteurs, les nerfs qui détectent les dommages subis par notre corps et qui signalent la situation à notre moelle épinière et à notre cerveau. En conséquence, la croyance que ce dernier ne ressent aucune douleur a pris forme, jusqu’à entrer dans la culture populaire.

Des chercheurs ont découvert dans le sang des substances permettant de prédire notre mort dans les cinq à dix ans. Horrible perspective ? Pas si cela peut aider à repousser le moment fatidique en se soignant…

Un nombre croissant d’études pointent les effets néfastes sur la santé de la consommation d’aliments ultra-transformés. Mais sauriez-vous les reconnaître dans les rayons des supermarchés et de quels risques parle-t-on ?

Le sommeil influence notre humeur mais aussi notre santé physique. Voici quelques bons conseils.

Aspirateurs-robots, voitures autonomes, Alexa et Siri... De nombreuses innovations impressionnantes ont été développées au cours des dix dernières années. Et pourtant, il reste des choses à faire pour nous rendre la vie encore plus agréable. Au boulot, Elon Musk !

Nous devons faire de l’exercice pour rester en bonne santé. Il nous protège contre la maladie et le décès prématuré, tout en préservant notre mobilité et notre autonomie. La marche est une forme d’exercice facile, gratuite et agréable. Mais est-ce qu’une belle promenade est suffisante pour vous assurer les bienfaits de l'activité physique ? La question a été posée à cinq spécialistes.

Peu importe l’âge, pourvu qu’on ait les capacités sensorielles, cognitives et motrices suffisantes pour tenir un volant.

La peur de l’accouchement est appelée « tocophobie » – terme qui signifie littéralement « phobie de l’accouchement ». Pour certaines femmes, elle s’accompagne également d’une aversion ou d’un dégoût de la grossesse. Que faut-il savoir ?