La consommation de cannabis est assez fréquente à l’adolescence et chez le jeune adulte. Beaucoup s’en tiennent à un usage occasionnel, mais bien d’autres en prennent régulièrement. Les effets à long terme ne sont certainement pas négligeables.
Testicules, vessie, prostate, pénis… : la consommation de cannabis augmente-t-elle le risque de développer un cancer de l’appareil uro-génital ? Pour certains types de tumeurs, une association est fortement suspectée.
L’ayahuasca (ou yagé) est un breuvage traditionnel utilisé par les chamanes d’Amérique du Sud à des fins rituelles (hallucinations) et thérapeutiques. On découvre qu’il stimulerait la formation de nouveaux neurones.
Le CBD pour compter les gouttes au lieu des moutons. Le cannabidiol serait le remède contre l’insomnie que beaucoup espèrent. Pourtant, les avis divergent.
Pour soulager les symptômes de la ménopause, une proportion significative de femmes indique recourir au cannabis, et elles s’en disent plutôt satisfaites.
Les cas d’overdose en Europe, en particulier ceux avec une issue mortelle, sont de plus en plus fréquents chez les seniors. Les médicaments tiennent une place clé.
Cannabis, cocaïne, réseaux de distribution… : un rapport montre l’influence de la pandémie de coronavirus (Covid-19) sur la consommation de drogue en Europe.
L’addiction est le moment où une substance procurant du plaisir envahit la vie d’un individu, au point qu’il perd sa liberté d’action. Les addictions se mettent en place à l’adolescence et nous sommes inégaux face à elles.
Le cannabis contient une molécule extrêmement nocive qui entraîne perte de mémoire, de motivation et risque de dépression, particulièrement chez les personnes les plus jeunes.
Les autorités sanitaires françaises ont placé le kratom sur la liste des psychotropes, en indiquant que sa consommation impliquait des risques graves pour la santé.
Fumer un joint de cannabis et prendre ensuite le volant expose à des risques réels d’accident : la drogue altère la capacité de conduire et ses effets persistent de longues heures.
Le cannabis thérapeutique (médical) trouve sa place dans la prise en charge des patients souffrant d’un cancer. Toutefois, cela ne doit pas se faire dans n’importe quelles conditions.
Plusieurs associations belges de spécialistes de la douleur estiment que les preuves de l'efficacité du cannabis médical contre la douleur sont insuffisantes, et elles soulignent le risque d'effets indésirables.
Quelle est la drogue la plus néfaste, pour soi et pour les autres ? Un groupe d’experts s’est penché sur la question, et ses conclusions donnent à réfléchir.
Le cannabis à usage médical est notamment proposé pour soulager la douleur. Toutefois, les mécanismes analgésiques sont mal connus. Que se passe-t-il vraiment ?
Les notifications d’effets sérieux, voire de décès, liés au cannabis sont en augmentation constante en France, et ceci devrait inciter les consommateurs à la plus grande prudence.
L’augmentation du nombre de cas d’enfants intoxiqués après avoir ingéré du cannabis, surtout sous forme de résine, doit attirer l’attention sur ce risque réel.
Une expérience surprenante indique qu’une proportion importante de la population, pourtant des non-consommateurs de drogue, présente des traces de cocaïne ou d’héroïne sur les doigts.
La marijuana donne-t-elle des envies de sexe ? Les avis sont partagés, mais une enquête va dans le sens de ceux qui estiment que le cannabis ne contrarie pas la libido et même qu’il favorise les rapports sexuels.
L’usage du cannabis à l’adolescence augmente considérablement le risque d’autres dépendances chez le jeune adulte : la marijuana est une porte d’entrée majeure vers l’addiction.
Le cannabis pour se détendre, pour combattre le stress ? Peut-être, mais attention aux doses : un peu trop, et c’est l’anxiété qui risque de prendre le dessus.
Lorsque la consommation de cannabis débute à un âge jeune, le parcours scolaire peut être fortement pénalisé : or, de plus en plus d’adolescents s’y mettent tôt.
Nombre d’experts s’inquiètent de la progression de la consommation de cannabis et suggèrent de développer des mélanges moins nocifs, mais qui procurent l’effet recherché.
La consommation d’alcool et/ou de cannabis exerce une influence évidente sur la sexualité (désir, prise de risque, sensations…). Quelles sont les différences entre ces deux substances ?