Des chercheurs australiens ont préconisé d’administrer la pilule contraceptive aux religieuses, avec l’intention de les protéger, notamment, contre le cancer du sein.
La liste des bienfaits d’une consommation quotidienne de café intègre une réduction du risque de cancer de l’utérus. Mais cette étude montre, et ce n’est pas banal, que le décaféiné exerce aussi une action positive.
Des « marchands de soleil » prétendent que le banc solaire pourrait participer à la prévention de certains cancers. Une assertion pour le moins hasardeuse, et surtout dangereuse.
Une très étonnante étude tend à démontrer que l’arrêt spontané du tabac peut être considéré, dans certains cas, comme l’un des premiers signes d’un cancer du poumon.
Des chercheurs australiens ont réussi, grâce à des protéines extraites du venin d’araignée, à stopper la croissance de cellules cancéreuses humaines… injectées à des souris.
Les coiffeurs devraient être formés à la détection des signes de cancer de la peau – comme le mélanome – affectant le crâne ou la nuque de leurs clients.
Les capacités olfactives du chien semblent décidément inépuisables : une étude allemande montre que l’animal est capable d’identifier un patient souffrant d’un cancer du poumon.
Le fait de travailler assis augmente sensiblement le risque de cancer, en particulier du sein et du côlon. Des pauses régulières, deux à trois minutes toutes les heures, diminuent considérablement le danger.
Le tabagisme après la ménopause accroît les niveaux d’hormones sexuelles, dont des taux élevés constituent un facteur de risque de cancer du sein et de l’endomètre, ainsi que de diabète de type 2.
C'est à l'Institut Bordet qu'a été créée, il y a 25 ans, la première clinique du sein de Belgique. Son objectif est de mettre à disposition des malades une structure multidisciplinaire pour les prendre en charge de façon totalement intégrée.
Légumes verts, légumineuses, fruits secs et riz brun : une alimentation de type macrobiotique réduirait sensiblement le risque de développer un cancer du côlon !
Les fumeurs qui grillent leur première cigarette peu après le réveil s’exposent à un risque considérablement accru de souffrir d’un cancer du poumon ou affectant la sphère tête-cou.
Une étude américaine conclut que les patients souffrant d’un cancer de la prostate à un stade précoce doivent bénéficier d’un traitement hormonal, en combinaison avec la radiothérapie.
Même si le nombre de cas reste relativement faible, les femmes ayant subi une hystérectomie courent un risque accru de souffrir d’un cancer du rein, surtout si l’intervention a été réalisée avant la quarantaine.
Les ongles des orteils pourraient devenir un indicateur simple permettant de détecter le degré d’exposition à la nicotine, et dès lors le risque de cancer du poumon.
Une étude américaine indique que certains types de cancers affectent moins les enfants dans les régions où la couverture vaccinale est la plus étendue.
Les patients atteints d’un cancer de la prostate et fumeurs au moment où le diagnostic est posé courent un risque considérablement plus élevé de récidive après traitement, et de mortalité.
Les femmes qui consomment cinq tasses, ou davantage, de café par jour s’exposent à un risque moindre de souffrir d’un certain type de cancer du sein, par rapport à celles qui en boivent rarement.
Les personnes qui travaillent en position assise doublent leur risque de cancer du côlon, à partir du moment où cette activité professionnelle s'étale sur plus de dix ans.
Contrairement à ce que beaucoup pensaient jusqu’à présent, les femmes traitées pour un cancer du sein auraient tout intérêt à soulever des charges pour prévenir la formation d’un lymphoedème aux bras.
Seuls 3 à 5% des fumeurs parviennent à abandonner la cigarette sans la moindre aide. Le pourcentage de réussite augmente considérablement (25%) lorsque le fumeur se fait accompagner.