Le cancer colorectal commence souvent avec des polypes au côlon, généralement bénins et sans symptômes. Mais parfois, ils évoluent en cancer. C’est un processus très lent, qui dure en moyenne 10 ans. A quels signes faut-il être attentif ?

Le cancer des testicules, généralement indolore, est souvent dépisté tardivement. Or, un diagnostic aussi précoce que possible est important. Quels sont les symptômes qui indiquent qu'il peut s'agir d'un cancer et non d'une inflammation bénigne du testicule ?

Une forte consommation de fibres végétales exerce un effet protecteur contre le cancer du sein : il faut miser sur les fruits et les légumes dès le jeune âge.

La consommation de viande rouge intervient-elle dans le risque de développer un cancer prostatique ? La question est souvent posée, la réponse semble négative.

Une abondance de légumes blancs et de fruits, une forte limitation des apports en sel et peu ou pas d’alcool : lorsque ces trois conditions sont réunies, le risque de cancer de l’estomac s’éloigne.

Les vertus du régime méditerranéen (crétois) sont nombreuses. Intégrant de l’huile d’olive vierge, il exercerait un certain effet protecteur contre le cancer du sein.

La consommation quotidienne de café diminuerait dans des proportions assez étonnantes le risque de rechute du cancer du côlon.

Trois marqueurs présents dans l’urine pourraient révéler à un stade très précoce le développement d’un cancer du pancréas.

Le suivi d’un patient souffrant de cancer revient à la fois à l’oncologue et au médecin généraliste. Comment voient-ils leurs rôles respectifs et leur collaboration ?

Les antécédents familiaux constituent un élément clé dans le risque de développer un cancer du testicule, relativement rare mais en augmentation depuis quelques décennies.

Le tabagisme représente un risque majeur de rechute après le traitement d’un cancer de la prostate : arrêter de fumer suffisamment tôt limite fortement le danger.

Une alimentation basée sur les préceptes du régime méditerranéen exerce un effet protecteur important contre le cancer de l’endomètre.

Déterminer son risque de cancer en quelques minutes et en répondant à des questions simples : c’est ce que propose ce test en ligne, avec en plus des conseils personnalisés.

Le dépistage périodique du cancer du sein par mammographie réduit considérablement le risque de décès lié à la maladie.

Une étude réalisée voici quelques années affirmait que les éjaculations fréquentes protégeaient contre le cancer de la prostate : les mêmes chercheurs confirment.

Les antécédents familiaux de cancer du sein n’influencent pas de manière négative les chances de réussite du traitement.

Les patients souffrant d’un cancer de la prostate devraient composer leur alimentation en intégrant les grands principes du régime méditerranéen.

Une densité mammaire élevée peut être constatée lors d'une mammographie. Dans quelle mesure cette situation complique-t-elle la détection d'une tumeur ?

Le risque de souffrir d’un cancer hématologique paraît plus élevé chez un enfant unique dont le père était âgé de 35 ans ou plus lors de la naissance.

Même s’ils sont considérablement moins exposés que les femmes, le cancer du sein peut aussi affecter les hommes. Un indicateur du risque : le taux d’œstrogènes à l’âge de 50 ans.

Sera-t-il possible un jour de détecter le processus cancéreux bien des années avant que la maladie se déclare ? Le secret pourrait se trouver dans les chromosomes.

On entend ici ou là que les produits solaires pourraient augmenter le risque de mélanome malin. Une large étude aboutit à des conclusions rassurantes.

Un composé du brocoli, présent aussi dans d’autres légumes crucifères, présenterait un effet protecteur contre le cancer de la bouche.

Une proportion extrêmement importante de fumeurs considère ne pas présenter plus de risques de cancer : un phénomène de déni qui complique la lutte contre le tabagisme.

La vaccination par erreur d'une femme enceinte contre le papillomavirus (en prévention du cancer du col de l’utérus) ne paraît pas entraîner de risque particulier pour l’enfant.

Les nausées et les vomissements affectent une proportion importante de patients sous chimiothérapie anticancéreuse. L’acupuncture pourrait leur être très utile.

Une proportion importante de femmes âgées de plus de 40 ans souffre d’un fibrome utérin, la première cause d’hystérectomie (ablation de l’utérus).

Une mauvaise qualité du sommeil augmente le risque d’infection chez les patients traités pour un cancer : il est important de les aider sur ce plan aussi.

Nouvelle démonstration de l’incroyable efficacité du flair du chien dans la détection du cancer de la prostate en reniflant des échantillons d’urine.

Lors d’un diagnostic de cancer du sein, il est extrêmement important d’aider les patientes à maîtriser leur stress.