Une proportion énorme des parents d’enfants en surpoids sous-estiment – nient ? – cette réalité, ce qui ne facilite évidemment pas l’adoption d’habitudes saines.
L’obésité est considérée comme une maladie en raison de ses effets néfastes pour la santé. Mais le message ne risque-t-il pas d'être contre-productif ?
La flore bactérienne présente dans les voies urinaires des femmes souffrant d’incontinence présente des particularités qui pourraient devenir des cibles de traitement.
Les bienfaits du petit déjeuner ont été maintes fois démontrés. Et quand on fait l’impasse sur ce repas si important, les conséquences néfastes perdurent pendant de longues années.
L’intention est a priori compréhensible, mais ses effets sont contre-productifs : la restriction alimentaire contribue à la prise de poids chez l’enfant.
La chirurgie bariatrique (ou chirurgie de l'obésité) améliore considérablement les paramètres de la fonction sexuelle chez la femme. Un bénéfice extrêmement important en termes de bien-être.
Le germe Clostridium difficile est à l’origine de diarrhées extrêmement sévères, singulièrement en milieu hospitalier. Un traitement à base de selles donne des résultats remarquables.
Le fait de répartir ses apports alimentaires en cinq repas quotidiens exerce un effet préventif contre le risque d’obésité chez l’enfant et l’adolescent.
Lorsqu'une personne arrête de fumer, la prise de poids est un phénomène habituel. Les sucreries destinées à « compenser » le manque n’expliquent pas tout.