Une durée du sommeil satisfaisante contribue de manière importante à la prévention des maladies cardiovasculaires.

Le manque de sommeil a été associé à une augmentation du risque d’obésité, en raison d’une consommation accrue d’aliments hautement caloriques. Mais que se passe-t-il dans le cerveau ?

Pour perdre du poids, l’équation est simple : il faut dépenser plus de calories que la quantité consommée. Certaines activités permettent d’atteindre plus vite cet objectif.

La constatation est extrêmement intéressante : pour perdre plus du poids, il est important de prendre un solide petit déjeuner.

L’importance du petit déjeuner est à nouveau mise en évidence : cette fois, des spécialistes montrent que faire l’impasse sur le repas du matin augmente le risque de crise cardiaque. Et attention aussi au grignotage du soir.

On peut facilement agir sur de nombreux facteurs d'hypertension, comme la sédentarité, le surpoids, le manque de sommeil ou les excès de table.

Une nouvelle étude confirme le lien entre la durée du sommeil et la prise de poids. Elle s’est penchée sur les aliments consommés durant la soirée.

Voici un très étonnant constat : les adolescents en surpoids sont beaucoup plus à risque de souffrir de pertes auditives.

Passer de longues heures en position assise n’est pas bon pour la santé. Mais comment limiter les risques lorsque l’activité professionnelle impose de rester collé sur sa chaise ?

Les personnes présentant des problèmes aux artères coronaires doivent faire très attention à l’obésité abdominale.

En cas de surpoids, la tentation peut être grande de faire l’impasse sur le petit déjeuner pour « économiser » quelques calories. C’est une erreur.

Nous sommes de plus en plus exposés à la lumière artificielle en toute fin de journée, ce qui exerce un effet très négatif sur le sommeil.

Les féculents ne bénéficient pas d’une image très positive, notamment parce qu’ils sont accusés de faire grossir. Une réputation injuste.

Le constat est vraiment étonnant : les médecins généralistes se montrent moins chaleureux envers leurs patients en excès de poids.

Les patients psychiatriques sont beaucoup plus exposés au risque cardiovasculaire : le poids joue un rôle prépondérant.

A priori, les ronflements « simples » d’un enfant ne doivent pas susciter une inquiétude démesurée, mais il est utile de suivre cela de près.

Pour des tas de bonnes raisons, il est utile de limiter l’exposition des jeunes enfants à la télévision. Il en va ainsi d’une propension aux problèmes de comportement.

La fraise peut être consommée sans modération puisqu'elle ne fait pas grossir. Gorgée d'eau, elle donne rapidement une sensation de satiété. La fraise nature est incontestablement l'alliée des régimes.

Une consommation d’alcool élevée associée à un surpoids accroît considérablement le risque de souffrir d’une atteinte hépatique grave.

Vivre avec chien exerce un effet protecteur majeur contre la maladie cardiaque. Les aspects physiques jouent un rôle important, tout comme la composante psychologique.

Voici une série d'astuces pour perdre facilement quelques kilos sans se priver. Remplacer un aliment par un autre et adopter des réflexes simples peuvent déjà beaucoup aider.

« Tu dois manger de tout » : cette injonction parentale classique n’a que peu d’effet sur une proportion non négligeable d’enfants, qui refusent d’avaler tout aliment nouveau.

Qu'elles soient vertes ou blanches, les asperges ont la même valeur calorique, alors que les asperges vertes sont plus riches en vitamines et en minéraux.

La perte de poids consécutive à un by-pass gastrique n’est pas uniquement liée à la restriction alimentaire, mais aussi à des modifications de la flore intestinale. Une voie de recherches prometteuse.

Les jeunes mariés heureux ont tendance à prendre plus de poids que ceux qui le ne sont pas, ou qui le sont moins.

Les enfants qui consomment des sodas sont aussi ceux qui s’alimentent le plus mal, avec un risque évident d’obésité.

Pour qu’un amaigrissement soit durable, il est nécessaire d’adopter des comportements qui permettent de… tenir la distance. Le respect de quelques recommandations peut y aider.

L’indice de masse corporelle (IMC) de l’enfant à l’âge de 2 ans est clairement prédictif d’un risque d’obésité.

Un nombre insuffisant d’heures de sommeil se traduit par une perturbation du fonctionnement de plusieurs centaines de gènes. Et quelques jours à peine suffisent.