Une perte de poids, même modeste, améliore de manière significative la fonction érectile et le désir sexuel chez les hommes obèses et diabétiques de type 2.
Par quel mécanisme le stress nous incite-t-il à consommer des aliments « réconfortants », à forte teneur en calories ? Tout est dans l’action de la ghréline, l’hormone de la faim.
Une consommation quotidienne de viande rouge, surtout lorsqu’elle est transformée, augmente sensiblement le risque de développer un diabète de type 2 (ou diabète adulte).
Le « Bite Counter » a été développé par une société américaine, qui explique que cet appareil compte le nombre de bouchées et calcule le total des calories ingérées.
Un programme sur mesure pour perdre les kilos en trop, et surtout adapté selon la silhouette de chacun : c’est le principe défendu par la morphonutrition.
Une étude souligne que ce n’est pas l’obésité définie par l’IMC qui accroît le risque de mortalité chez le patient coronarien, mais celle qui s’exprime par un tour de taille trop élevé.
Au quotidien, inutile de faire un régime strict... Voici quelques petites astuces pour vous éviter d'absorber trop de calories et de manger trop copieusement aux repas.
Les patients obèses souffrant de migraine tirent un grand bénéfice de la chirurgie bariatrique, qui permet de réduire la fréquence et l’intensité des crises.
Le fait de manger des plats monotones réduit progressivement l’appétit. Une stratégie pour perdre du poids ? Peut-être, mais l’alimentation doit rester équilibrée !
Le syndrome d’apnées du sommeil affecte, dans une large majorité, des personnes en surpoids. Pour elles, maigrir est utile et nécessaire, avec un effet positif sur le long terme.
Un lien direct est établi entre la progression constante de l’obésité et les problèmes de santé bucco-dentaire. En cause : la quantité et la nature du grignotage entre les repas.
A terme, les conséquences d'une surcharge pondérale, et en particulier de l'obésité, peuvent être extrêmement graves. Il est donc important de s'attaquer énergiquement au problème.
Une étude européenne, incluant la Belgique, montre que le surpoids de l’enfant est directement lié à la durée du sommeil. A ceci s’ajoutent les facteurs classiques, comme l’alimentation et l’activité physique.
La prévention de l’obésité infantile commence dès le biberon, dont l’usage prolongé comme contenant principal de boisson doit être considéré comme un facteur de risque.
Une spécialiste américaine décrit les sept principaux facteurs de risque évitables de la maladie d’Alzheimer. Elle affirme qu’ensemble, ils sont à l’origine de la moitié des cas !
Des chercheurs espagnols considèrent que l’ingestion de mélatonine pourrait contribuer à combattre l’obésité et les risques cardiovasculaires qui lui sont liés.
Les personnes qui travaillent en position assise doublent leur risque de cancer du côlon, à partir du moment où cette activité professionnelle s'étale sur plus de dix ans.
Dans le cadre d’un régime amaigrissant, le « petit plaisir » - une fois par semaine, souvent - du dessert calorique est particulièrement contre-productif.