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Calvitie : c’est un peu la faute à maman…
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Alors qu’une étude a identifié 200 gènes responsables de la calvitie, un spécialiste nous explique pourquoi il n’y a plus qu’un cheveu sur la tête à Mathieu. Et pourquoi cela pourrait bien encore durer 1.000 ans…
La nouvelle paraît pour le moins tirée par les cheveux, autant vous avertir d’emblée. Il y a quelques jours, des chercheurs de l’université d’Edimbourg ont annoncé avoir identifié plus de 200 groupes de gènes impliqués dans l’alopécie (perte progressive des cheveux). Une découverte qui, selon eux, pourrait aider à prédire, à l’aide d’une formule, le risque de calvitie pour les hommes. En revanche, pas l’ombre d’un traitement révolutionnaire en vue. En matière de connaissance du phénomène de la calvitie, il faut se rendre à l’évidence?: la science n’a avancé que d’un poil.
« On se doute depuis longtemps que la calvitie est une affection régie par une multitude de gènes », tient à rappeler le Dr Dominique Van Neste, dermatologue, spécialiste du cheveu. « Le monde de la génétique a malheureusement tendance à rapidement claironner que la solution est à portée de main, alors que l’on sait pertinemment que le chemin sera encore long. » Il y a 20 ans, on disait déjà qu’il y a un gène pour chaque maladie. Par exemple, dans le cas de la pathologie « hairless » – les bébés naissent avec un duvet sur la tête mais la structure de leur cuir chevelu est incapable de poursuivre son travail et ils restent chauves toute leur vie – un seul gène est à l’origine de cette maladie.
L’étude d’Edimbourg ne manquera cependant pas de susciter l’intérêt de la gent masculine… dont 80% des effectifs seront chauves à 80 ans.
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