Vacances : comment vaincre le mal des transports
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Sur l’océan, cela commence souvent par la sensation d’avoir un peu froid, sur la route par celle d’avoir trop chaud. À la sensation de malaise viennent rapidement s’ajouter les premières nausées. Dès ce moment, le monde entier peut s’écrouler, les passagers du bateau passer par-dessus bord, cela vous est complètement égal. Vous êtes obnubilé par l’unique et intense désir de sortir-de-là-tout-de-suite! Mourir vous irait aussi. Et en attendant, surtout, que l’on évite de vous demander de consulter la carte ou même de vous adresser la parole. Et que dire des enfants, si ce n’est que bon nombre de parents redoutent les longs trajets sinueux en leur compagnie, notamment en montagne, quand il leur est absolument impossible de s’arrêter avant des kilomètres et que le petit ressemble de plus en plus à Shrek…
Les premiers symptômes peuvent être de nature diverse : une sensation de lourdeur, d’étourdissement, un malaise inexplicable, parfois des maux de tête, des sueurs froides, de la somnolence, de l’hypersalivation, de la tachycardie (le cœur bat plus vite) ou encore la sensation de respirer plus vite. Les enfants en bas âge ne pouvant expliquer leur ressenti, se mettent généralement à pleurer. Si la personne incommodée ne quitte pas rapidement le véhicule ou si l’accostage n’est pas prévu de sitôt, il y a fort à parier que les vomissements s’ensuivront. Le soulagement est souvent immédiat.
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