En cas de cancer de la prostate à faible risque, la surveillance active assure une meilleure qualité de vie, en particulier en termes de fonction urinaire et sexuelle.
La consommation de viande rouge intervient-elle dans le risque de développer un cancer prostatique ? La question est souvent posée, la réponse semble négative.
Le tabagisme représente un risque majeur de rechute après le traitement d’un cancer de la prostate : arrêter de fumer suffisamment tôt limite fortement le danger.
Une étude réalisée voici quelques années affirmait que les éjaculations fréquentes protégeaient contre le cancer de la prostate : les mêmes chercheurs confirment.
Les antécédents familiaux de cancer de la prostate exposent la femme à un risque accru de cancer du sein : pour celles qui sont concernées, la surveillance devrait être encore plus étroite.
La question se posait de savoir si les antécédents d’acné pouvaient être considérés comme un indicateur du risque de cancer de la prostate. La réponse est négative.
Des taux élevés de cholestérol total et de triglycérides favorisent la récidive du cancer de la prostate : il est donc important d’agir sur ce paramètre.
Plusieurs études ont évoqué une association entre la calvitie et le cancer de la prostate. Ces recherches-ci ciblent une forme de calvitie bien spécifique.
Une alimentation riche en tomates exerce un effet protecteur contre le cancer de la prostate, d’autant plus lorsqu’elle intègre aussi beaucoup de légumineuses.
Un calculateur de risque de cancer de la prostate a été développé par des chercheurs américains, qui viennent de mettre en ligne une version actualisée.
Une nouvelle étude confirme l'extraordinaire capacité du chien à détecter les composés organiques volatils (COV) caractéristiques du cancer prostatique.
Une association a été établie entre le risque de développer un cancer prostatique et le degré d’exposition à la pollution atmosphérique, en particulier le dioxyde d’azote.
La consommation quotidienne d’huile d’olive, mais aussi de noix, agit de manière particulièrement bénéfique chez les patients souffrant d’un cancer prostatique.
Une étude américaine conclut que les patients souffrant d’un cancer de la prostate à un stade précoce doivent bénéficier d’un traitement hormonal, en combinaison avec la radiothérapie.
Les patients atteints d’un cancer de la prostate et fumeurs au moment où le diagnostic est posé courent un risque considérablement plus élevé de récidive après traitement, et de mortalité.