Les enfants adorent grignoter entre les repas, mais ces en-cas sont souvent trop gras et/ou trop sucrés. Une experte en nutrition fournit quelques conseils pour concilier plaisir et santé.
La tendance veut que les médecins et le personnel infirmier portent des blouses à manches courtes, considérant qu’elles réduisent le risque de transmission de microbes par rapport aux « manches longues ».
Rester au sommet d’une hiérarchie sociale présente pas mal d’avantages, mais aussi de sérieux inconvénients, comme le démontre une (très) longue expérience conduite dans une population de… babouins.
Lorsque survient un problème d’érection, l’homme angoisse, alors que la femme a tendance à relativiser la « contre-performance ». Paradoxe : elles sont nombreuses à culpabiliser.
Un lien direct est établi entre la progression constante de l’obésité et les problèmes de santé bucco-dentaire. En cause : la quantité et la nature du grignotage entre les repas.
Nos comportements de consommateurs « modernes » trouvent leurs racines dans les grands facteurs de l’évolution définis par Darwin, explique un spécialiste canadien.
A terme, les conséquences d'une surcharge pondérale, et en particulier de l'obésité, peuvent être extrêmement graves. Il est donc important de s'attaquer énergiquement au problème.
Une personne souffrant d'allergie alimentaire peut présenter de sérieuses réactions après avoir ingéré l'allergène, mais aussi en embrassant quelqu'un qui en a mangé.
Le repas du matin doit être considéré comme un vrai repas, aussi bien pour l’adulte que pour l’enfant. Il prévient notamment la « suralimentation » durant la journée.
Une étude européenne, incluant la Belgique, montre que le surpoids de l’enfant est directement lié à la durée du sommeil. A ceci s’ajoutent les facteurs classiques, comme l’alimentation et l’activité physique.
Des chercheurs ont déterminé que le niveau de « l’activité physique accessoire », c’est-à-dire celle de la vie de tous les jours, peut avoir une influence positive sur la santé, mais jamais autant que la pratique d’un sport.
La prévention de l’obésité infantile commence dès le biberon, dont l’usage prolongé comme contenant principal de boisson doit être considéré comme un facteur de risque.
Une spécialiste américaine décrit les sept principaux facteurs de risque évitables de la maladie d’Alzheimer. Elle affirme qu’ensemble, ils sont à l’origine de la moitié des cas !
Lors d'une canicule, les enfants nourris au biberon devront en recevoir davantage. Bien souvent toutes les heures. Il en va de même pour les mères qui allaitent : elles devront multiplier les tétées.
La manière dont nous mémorisons les informations a sensiblement évolué depuis l’apparition, et la généralisation, d’Internet. En fait, le cerveau « stocke » moins d’informations, mais sait mieux comment les retrouver.
Les diabétiques de type 2 souffrant de troubles du sommeil présentent une résistance à l’insuline sensiblement plus élevée, ce qui complique la prise en charge de la maladie.
Les huiles solaires n'ont jamais eu bonne presse auprès des professionnels de la santé, notamment en matière de protection anti-UV. Aujourd'hui, elles prennent leur revanche.
Les femmes enceintes avec un asthme mal contrôlé s’exposent à un risque (notablement) accru d’accouchement prématuré. Un traitement adapté atténue considérablement la menace.
Une étude américaine montre que la consommation excessive d’alcool durant l’adolescence affecte le développement du cerveau, singulièrement chez les jeunes filles.