Certaines allergies peuvent être soit très invalidantes, soit occasionner des problèmes de santé importants qui peuvent nécessiter une hospitalisation et/ou entraîner la mort dans les cas les plus sévères !
Des analystes britanniques, spécialisés dans les tendances alimentaires, prédisent une part de plus en plus belle aux aliments fonctionnels et anti-allergies.
Côtoyer un animal domestique – un chien ou un chat – durant la première année de vie réduirait de moitié le risque de souffrir, à l’âge adulte, d’une allergie à ces petits compagnons.
La Commission française de la sécurité des consommateurs (CSC) met en garde contre les risques d’allergies et/ou d’irritations sévères liés aux produits de coloration capillaire.
Une personne souffrant d'allergie alimentaire peut présenter de sérieuses réactions après avoir ingéré l'allergène, mais aussi en embrassant quelqu'un qui en a mangé.
Des pédiatres britanniques remettent en cause le « dogme » de l’allaitement maternel exclusif des bébés jusqu’à l’âge de 6 mois. Ils estiment que de la nourriture solide doit être intégrée à partir de 4 mois.
Plus une personne est allergique, moins elle court de risques de développer un gliome, un type de tumeur du cerveau, affirme une équipe de chercheurs américains.
Les résultats d’une étude conduite en Finlande recommandent un traitement avec du miel enrichi en pollen (en l’occurrence de bouleau) aux patients allergiques.
Les enfants qui présentent une allergie alimentaire sont particulièrement exposés à l’anxiété et à la solitude ; avec un impact considérable sur leur qualité de vie.
L’allergie alimentaire au poisson est le résultat d’une intolérance aux parvalbumines, des protéines présentes dans les muscles. Des chercheurs luxembourgeois ont classé les espèces seront leur potentiel allergisant. Résultat : le thon, c’est bon.
Trente mille Belges, parfois non encore diagnostiqués, sont concernés par la maladie cœliaque. Pour eux, une alimentation exempte de gluten s’impose à vie.
Pour prévenir les allergies alimentaires affectant leur enfant, les mamans se sont longtemps vu conseiller d’éviter de consommer, durant la grossesse, les aliments classiquement les plus allergènes.
L’urticaire (qui vient du latin : « urtica » qui signifie « ortie » et qui contrairement à la croyance populaire est un mot féminin) est caractérisée par de graves démangeaisons.