Le manque de sommeil a été associé à une augmentation du risque d’obésité, en raison d’une consommation accrue d’aliments hautement caloriques. Mais que se passe-t-il dans le cerveau ?
La fatigue de l’enfant et de l’adolescent constitue un motif fréquent de préoccupation et de consultation. Des causes physiques et psychologiques entrent en jeu.
C’est une sorte de cercle vicieux : la qualité du sommeil perturbe l’humeur, qui à son tour influe sur l’alimentation… avec des répercussions sur le sommeil.
Les parents et les pédiatres doivent être extrêmement attentifs au syndrome d’apnées du sommeil de l’enfant, qui expose à un (gros) risque de troubles du comportement.
Un nombre insuffisant d’heures de sommeil se traduit par une perturbation du fonctionnement de plusieurs centaines de gènes. Et quelques jours à peine suffisent.
Les crises de larmes du nourrisson peuvent considérablement perturber le sommeil des parents, au point de déclencher une crise majeure au sein du couple.
En Belgique, une quarantaine de différents types de somnifères et de calmants sont disponibles en pharmacie. Un adulte sur dix en consomme tous les jours. Avec quel résultat ? Et quels sont les risques de dépendance ?