Les patients diabétiques s’exposent à un risque nettement accru de développer une insuffisance cardiaque. Face à la menace de cette complication, un suivi étroit est indispensable, pour ne pas dire vital.
En termes de prévention et de contrôle du diabète, on évoque souvent l’alimentation, l’exercice, le poids…, mais relativement peu le stress. Or, il pourrait jouer un rôle important.
De plus en plus de recherches indiquent qu’il est possible d’inverser le diabète (DT2) en mangeant plus sainement, en pratiquant plus d'exercice et en perdant du poids. Il serait crucial d'intervenir de manière drastique le plus tôt possible après le diagnostic et l'âge des patients jouerait également un rôle important.
Fruits, légumes et grains entiers : ces trois priorités alimentaires contribuent à réduire sensiblement le risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Le fait d’augmenter un peu les apports exerce déjà de réels bienfaits.
Le syndrome métabolique, notamment caractérisé par une obésité abdominale, est associé à une augmentation du risque de développer certains types de cancer : celui de la vessie vient s’ajouter à la liste.
Médicament largement utilisé, et de longue date, dans le traitement du diabète, le mode d’action de la metformine recèle encore des inconnues. Une nouvelle pièce est ajoutée au dossier : sa contribution à l’élimination du sucre.
Les bénéfices de l’allaitement au sein sont nombreux, tant pour la maman que pour l’enfant. Chez la femme, un effet très positif est observé sur le plan métabolique, et en particulier contre le diabète.
Le diabète de type 2 (DT2) peut provoquer une atteinte directe du coeur, conduisant à l’insuffisance cardiaque, et ceci sans que d’autres facteurs de risque contribuent à ce processus.
Le surpoids et l’obésité sont identifiés comme des facteurs majeurs de risque de diabète. Les années durant lesquelles on a présenté cet excès de poids interviennent de manière déterminante.
On sait qu’en cas de poids trop élevé, le fait de maigrir diminue considérablement le risque de diabète. Il s’avère qu'il en va ainsi aussi quand l’indice masse corporelle (IMC) est satisfaisant.
Les personnes diabétiques présentent un risque plus élevé de souffrir d'une maladie ou d'un accident cardiovasculaire. Dans un contexte de prévention, la consommation fréquente de noix et de fruits à coque peut être très bénéfique.
La prise d'hormones thyroïdiennes n’a pas d’effet sur la qualité de vie des personnes de plus de 80 ans avec une fonction thyroïdienne légèrement réduite. Il en va autrement quand elle est davantage altérée.
Une perte de poids de 10% dans les cinq ans qui suivent le diagnostic de diabète peut permettre d’enclencher une rémission de la maladie, et ceci sans très gros effort.
En cas d’hypothyroïdie ou d’hyperthyroïdie, le taux de TSH (thyroid-stimulating hormon ou thyréostimuline) se situe au-dessus ou en dessous des normes. Toutefois, l’interprétation des résultats n’est pas si évidente.
La taille d’un individu et la longueur de ses jambes sont associées à la probabilité de développer un diabète : les « grands » seraient moins à risque. Mais pourquoi ?
Le fait de réduire considérablement ses apports en sucre peut-il prévenir le diabète de type 2 (DT2), ou permettre d'en guérir ? Les choses ne sont pas si simples que cela. En fait, peut-on vraiment dire que le sucre est la cause du diabète ?
La pratique de la course à pied exerce un effet préventif contre le risque de diabète, et plus on pratique cette activité physique, plus le bénéfice se renforce. Un exercice à recommander, donc.
Le taux de vitamine D a été associé au risque de diabète, mais le sujet fait toujours débat. Une nouvelle étude apporte des éléments qui tendent à conforter ce lien.
Voici un robot « social » capable de guider de manière autonome et personnalisée les patients souffrant d'une maladie chronique. Il a été utilisé pour la première fois pour soutenir les enfants diabétiques.
Lorsqu'un diabète de type 2 (DT2) est diagnostiqué, la première étape de la prise en charge consiste à adapter son alimentation. Si ces changements ne suffisent pas, le médecin évaluera la nécessité de prescrire des médicaments.
Les personnes diabétiques présentent un risque nettement plus élevé de développer une atteinte potentiellement sévère du foie : la stéatose hépatique (ou stéatohépatite) non alcoolique.
Les personnes diabétiques sont particulièrement exposées à des maladies des yeux, en particulier la rétinopathie. Mais il existe une autre menace, moins connue : la cataracte.
La force musculaire semble intervenir dans le risque de développer un diabète : des exercices modérés de musculation peuvent jouer un rôle de prévention.
Un taux insuffisant de vitamine D pourrait contribuer au développement du diabète. Pour cette raison comme pour d’autres, il est important de surveiller ce paramètre et de recourir à une supplémentation en cas de carence.
La consommation régulière de fruits à coque, et surtout de noix, protège contre le risque d’accident cardiovasculaire, et c’est en particulier le cas pour les personnes diabétiques.