L’activité physique agit de manière bénéfique sur l’arthrose. Néanmoins, en ce qui concerne le genou (gonarthrose), la marche est utile, mais sans excès.
En renforçant la densité osseuse, la pratique régulière d'une activité physique permet d'aider à prévenir l'ostéoporose ou de ralentir sa progression, limitant ainsi les risques de fractures.
Les femmes enceintes qui possèdent un chien bénéficient d’un réel atout pour atteindre les niveaux d’activité physique recommandés durant la grossesse.
Le port de talons hauts agit intensément sur les structures musculaires des jambes, et modifie la façon de marcher, même après avoir retiré ses chaussures.
Le fait de travailler assis augmente sensiblement le risque de cancer, en particulier du sein et du côlon. Des pauses régulières, deux à trois minutes toutes les heures, diminuent considérablement le danger.
Des chercheurs américains affirment que le temps nécessaire pour parcourir un mile (1,6 km environ) permet de prédire le risque de développer une maladie cardiaque.
Au cours de ces dernières décennies, l’espérance de vie de notre population a fortement augmenté, en raison de l’amélioration des conditions de vie et des progrès de la médecine. Mais la douleur reste un problème de taille.
L’augmentation de l’incidence du diabète de type 2 (DT2) et de l’obésité est liée, en partie, à une sédentarité galopante. Les travaux réalisés à ce jour soulignent les bienfaits de l’activité physique sur la masse grasse.
La pratique régulière d’une activité physique réduirait de moitié la fréquence des rhumes et la sévérité des symptômes, selon les conclusions d’une étude américaine.
Une activité physique modérée durant au moins une demi-heure par jour, cinq fois par semaine : c’est ce qui est conseillé aux adultes pour garder la forme le plus longtemps possible.