Les bougies parfumées sont appréciées pour créer une ambiance chaleureuse et détendue. Toutefois, elles ne sont pas exemptes de risques, plusieurs études ayant souligné leur nocivité potentielle. Quels conseils pour limiter le danger ?

Les bâtonnets d’encens et les bougies parfumées doivent être utilisés avec une grande prudence en raison des émanations de substances toxiques.

A partir de 2021, les gobelets, assiettes, couverts, récipients ou ustensiles en plastique à usage unique seront bannis dans l'ensemble des pays de l'Union européenne. Et de manière globale, il est nécessaire d'adopter une attitude qui tend vers le « zéro plastique » afin de moins polluer. Voici 4 conseils.

La fumée dégagée par le bois qui chauffe (feu de cheminée, poêle à bois...) contient des substances nocives. Mais assez curieusement, on en sait peu sur leurs effets pour la santé des occupants. Il reste que des précautions sont nécessaires : quels conseils ?

Avec l’abandon des sacs plastiques dans le commerce, une alternative consiste à proposer des sacs biodégradables, supposés plus respectueux de l’environnement. Vraiment ?

On connaît les risques liés au tabagisme actif et passif (respirer la fumée ambiante), voici un autre danger méconnu : le tabagisme tertiaire.

Une alimentation saine réduirait les effets néfastes de la pollution atmosphérique sur la santé cardiovasculaire, et dans le même temps le risque de mortalité prématurée.

Le ficus protège contre les émanations toxiques (souvent insoupçonnées) qui polluent l'air de la maison.

Le taux de résidus de médicaments dans les eaux douces de surface ne cesse d’augmenter, avec une réelle menace pour les organismes aquatiques.

Est-il bon ou mauvais pour la santé de rouler à vélo ou de courir en ville ? Tout dépend de la quantité de particules nocives, comme les particules fines, dans la zone où vous vous trouvez. Globalement cependant, les avantages de l'activité physique l'emportent.

C’est une observation à peine croyable : des analyses montrent la présence de particules de plastique dans notre matière fécale, ce qui signifie donc que nous en mangeons.

Le tabagisme passif à la maison est le facteur environnemental le plus important en termes de perte d’années en bonne santé. Mais il y a beaucoup de malentendus sur la question. Fumer sous la hotte ou à la fenêtre n’est pas une solution, pas plus qu'aérer la pièce. Les particules de fumée nocives se propagent et s'incrustent partout.

Dans les villes à circulation dense, les enfants en poussette sont exposés à des taux élevés de gaz d’échappement. Il vaut donc mieux couvrir le buggy d’une house de protection, comme le conseillent des médecins dans une revue spécialisée.

La pollution atmosphérique attaque immédiatement et violemment les vaisseaux sanguins, avec le déclenchement d’un processus inflammatoire.

Les polluants atmosphériques exerceraient un effet néfaste direct sur le placenta, avec alors des risques réels pour la santé de l'enfant.

L’usage des produits ménagers de nettoyage risque d’altérer la fonction respiratoire : les substances chimiques volatiles sont très agressives.

La peau des fruits et des légumes traités avec des pesticides contient des traces chimiques. Pour les éliminer, les rincer avec du bicarbonate de soude représente une solution assez efficace.

La pollution atmosphérique représente un réel facteur de risque d’infarctus du myocarde : une nouvelle étude confirme cet impact direct.

La pollution de l’air nuit à la santé cardiaque et respiratoire, mais elle augmente aussi considérablement le risque d’un sommeil de moins bonne qualité.

Particules fines, dioxyde d'azote, ozone... : il peut être (très) important de connaître les concentrations de ces substances dans l'air ambiant, en particulier si vous souffrez de problèmes de santé ou si vous devez effectuer une tâche physiquement exigeante. Où se procurer ces informations sur Internet ?

Conséquence étonnante du réchauffement climatique : les secousses d’avion causées par les turbulences et les trous d'air devraient se multiplier de manière exponentielle.

Des chercheurs ont mis en évidence une association entre le fait d’habiter à proximité d’un axe routier et un risque plus élevé de souffrir de démence.

La pollution de l’air et la pollution sonore constituent deux facteurs de risque importants d’hypertension artérielle. Un appel est lancé aux autorités.

La pollution atmosphérique a considérablement progressé dans la liste des facteurs de risque d’accident vasculaire cérébral (AVC), sachant qu'il est possible d'agir sur la plupart d'entre eux.

La pollution atmosphérique exerce un effet direct sur le risque de mortalité, en particulier d’origine cardiovasculaire : les particules fines agressent les artères.