Les adolescents qui se considèrent trop enrobés, malgré un poids parfaitement normal, risquent effectivement de se trouver en surpoids quelques années plus tard.
Les « amasseurs » sont incapables de jeter quoi que ce soit. Les spécialistes parlent de « trouble de la thésaurisation ». Que se passe-t-il dans le cerveau ?
Caractère fortement oppositionnel et comportement marqué par l’inattention constituent deux éléments prédictifs d’un risque accru d’addiction au tabac et au cannabis.
L’anorexie et la boulimie sont des troubles du comportement alimentaire bien identifiés. Mais le culte de la minceur, de l’apparence, cause des ravages plus sournois et souvent ignorés.
L’homophobie serait une conséquence relativement fréquente d’une homosexualité refoulée : l’attitude des parents interviendrait de manière déterminante.
Les (grands) amateurs de crème glacée en demandent toujours davantage : c’est que leur cerveau réagit de la même manière qu’en cas d’addiction à une drogue.
Deux anesthésies générales ou davantage, avant l’âge de 3 ans, augmentent le risque de développer un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).
Dans les mois qui ont suivi la fusillade au collège Dawson (Montréal), un nombre important d’étudiants sont devenus dépendants à l’alcool et à la drogue.
L’alimentation aurait un lien avec le TDAH (trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité). Mais une intervention nutritionnelle est-elle pour autant utile ?
Le trouble obsessionnel compulsif (TOC) affecterait davantage les adultes hypersensibles durant leur enfance, et déjà (très) attentifs à l’importance des rituels.