Les bénéfices de l’allaitement au sein sont nombreux, tant pour la maman que pour l’enfant. Chez la femme, un effet très positif est observé sur le plan métabolique, et en particulier contre le diabète.
L'une des questions les plus fréquentes que se posent les mamans consiste à savoir à quelle fréquence il faut alimenter son bébé, surtout lorsqu'il s'agit d'un nouveau-né. Allaitement ou biberon : quels conseils ?
L’allaitement au sein contribue à limiter l’accumulation de graisse abdominale dans les années qui suivent, ce qui est bénéfique pour le tour de taille et la santé de manière générale.
De nombreuses femmes enceintes présentent une carence en vitamine D. Or, ce déficit peut avoir des conséquences pour la mère comme pour l'enfant. En cas de manque sévère, des suppléments sont nécessaires.
L’engorgement mammaire, qui peut faire très mal, touche de nombreuses mamans qui allaitent au sein : le chou présente de réelles vertus pour les soulager.
L’allaitement maternel confère un certain degré de protection contre la maladie cardiovasculaire et l’accident vasculaire cérébral (AVC). Plus longtemps la mère a allaité, plus le bénéfice est élevé.
Pendant les quelques mois qui suivent l’accouchement, le sommeil de la maman est fortement altéré, et la fatigue s’installe. Nourrir son bébé au sein ou au biberon fait-il une différence ?
L’allaitement maternel présente de réels bénéfices pour la santé de l’enfant, c’est indéniable. Toutefois, il ne semble pas jouer de rôle déterminant en termes de facultés et d’habileté mentales.
Jusqu’à l’âge de 3 ans, les enfants sont nourris au sein ou au lait adapté à leur âge, en combinaison avec des aliments solides. Les produits à base de lait de vache et les laits végétaux se valent-ils ? Que faut-il savoir pour faire son choix ?
Il n'y a que dans des circonstances très particulières qu'il est déconseillé - voire interdit - pour une femme de donner le sein à son bébé. Dans quelles situations l'allaitement maternel doit-il être évité ?
L’allaitement exclusif au sein durant les 4 à 6 premiers mois de la vie de l’enfant est recommandé pour tous les nourrissons, y compris les prématurés. Il a en effet un impact positif sur la santé de la mère et de l’enfant.
La proportion de nourrissons allaités au sein (de manière exclusive ou mixte) décroît de manière spectaculaire au fil des semaines qui suivent l’accouchement.
Durant la grossesse, il vaut mieux éviter certains poissons ou en limiter la consommation. Ils peuvent en effet contenir des bactéries, ou parfois de trop hautes concentrations de substances comme le mercure ou les dioxines.
Des messages alarmants apparaissent régulièrement au sujet de la présence dans le poisson de produits toxiques. Ces risques sont en fait si minimes qu’ils ne dépassent pas les nombreux avantages du poisson et des fruits de mer, y compris pendant la grossesse et l’allaitement.
Une proportion considérable des femmes qui ont arrêté de fumer pendant la grossesse recommence après l’accouchement. Allaiter leur bébé au sein peut les aider à ne pas rechuter.
Beaucoup de mamans souhaitent tirer leur lait et pouvoir le donner plus tard à leur bébé. Comment faut-il procéder pour la conservation de son lait en toute sécurité ?
Les femmes qui allaitent présentent un risque réduit de souffrir d’une dépression post-partum. Celles qui veulent mais ne peuvent pas sont les plus exposées.
L’érythème fessier ou dermite du siège est un problème fréquent chez le bébé porteur de couches. Un traitement par le lait maternel donne des résultats remarquables.