C’est connu : rester scotché à la télévision induit des comportements néfastes pour la santé, liés à la sédentarité et au grignotage. Une étude quantifie le problème.
Pour effectuer le bon choix des jouets, il convient d'opter pour un judicieux équilibre entre ce qui plaît à l'enfant et les jeux avec lesquels il ne court aucun risque d'accident.
Légumes verts, légumineuses, fruits secs et riz brun : une alimentation de type macrobiotique réduirait sensiblement le risque de développer un cancer du côlon !
Les fumeurs qui grillent leur première cigarette peu après le réveil s’exposent à un risque considérablement accru de souffrir d’un cancer du poumon ou affectant la sphère tête-cou.
S'agit-il, chaque automne, d'une cure amincissante ou de détoxifier le foie avant certains excès qui ne manqueront pas avec les plats mitonnés et festifs de l'hiver ?
Lorsque l’âge du père est supérieur à 35 ans au moment de la conception, le risque pour l’enfant de souffrir de schizophrénie augmenterait sensiblement.
La masturbation à l’adolescence présente des bénéfices pour le développement sexuel et affectif, tant des filles que des garçons. Mais le sujet reste tabou.
Traitement de substitution hormonale, produits naturels et quelques conseils hygiéno-diététiques permettent de limiter les bouffées de chaleur liées à la ménopause.
Des chercheurs canadiens affirment que ces fruits, assez communs en Europe, recèlent une quantité impressionnante de composants bénéfiques pour la santé.
La maladie de Crohn est une maladie chronique de l'intestin. En Belgique, quelque 15.000 personnes souffriraient de cette pathologie qui n'est pas contagieuse.
Crier, gesticuler brutalement, donner des coups…, tout en dormant : les troubles du comportement en sommeil paradoxal présageraient d’un risque sensiblement accru de développer la maladie de Parkinson.
Une étude américaine conclut que les patients souffrant d’un cancer de la prostate à un stade précoce doivent bénéficier d’un traitement hormonal, en combinaison avec la radiothérapie.
Une perte de poids, même modeste, améliore de manière significative la fonction érectile et le désir sexuel chez les hommes obèses et diabétiques de type 2.