Dans les cas sévères d’arthrose du genou (gonarthrose), la pose d’une prothèse peut être nécessaire. Cette opération doit intervenir dans une fenêtre de temps aussi précise que possible, mais c’est rarement le cas.

L’arthrose, en particulier du genou (gonarthrose) et de la hanche (coxarthrose), est identifiée comme un facteur significatif de risque d’isolement social.

Que faut-il penser des infiltrations de cortisone pour traiter les poussées d'arthrose du genou (gonarthrose) ou de la hanche (coxarthrose) ? Risquent-elles de faire plus de mal que de bien ?

On connaît mal la place de l’hérédité dans le risque de développer une arthrose, que ce soit du genou (gonarthrose), de la hanche (coxarthrose) ou de la main. Des nouvelles données montrent que l’influence maternelle jouerait un rôle significatif.

Plusieurs facteurs augmentent le risque de développer une arthrose : c’est le cas de l’âge qui avance, des lésions articulaires traumatiques, ainsi que du surpoids. Mais d’autres sont plus inattendus, comme la pression artérielle.

Le « chitosan », un nouveau gel contre l’arthrose à base de champignons de Paris, sera commercialisé en 2020. Zoom sur une maladie à prendre très au sérieux.

En cas de douleurs chroniques non cancéreuses, ici associées à l’arthrose et au mal de dos, l’utilisation d’analgésiques opioïdes n’est pas indiquée.

En cas d’arthrose du genou (gonarthrose), il est souvent conseillé d’arrêter la course à pied afin de ne pas aggraver la situation. Pourtant, il semblerait que le fait de courir ne soit pas nuisible… et peut-être même au contraire.

La durée de vie d’une prothèse de genou ou de hanche est une question centrale que se posent les patients. Quelle longévité peuvent-ils espérer ?

Le traitement de l’arthrose du genou (gonarthrose) devrait intégrer des séances régulières de massage corporel intégral (complet) : le bénéfice est réel en termes de douleur et de mobilité.

Après la pose d’une prothèse de genou, il est extrêmement important de prévenir le risque de thrombose. L’administration d’aspirine est-elle suffisante ?

En cas d’arthrose du genou (gonarthrose), la pratique d’une activité physique agit favorablement contre la douleur et la gêne fonctionnelle.

Le spondylolisthésis est un déplacement d’une vertèbre par rapport à une autre. Dans la majorité des cas, cela concerne les lombaires, avec des douleurs dans le bas du dos. Causes, symptômes et traitements.

Peut-on établir une association entre le statut en vitamine D (normal ou manque) et l'évolution de l’arthrose du genou (gonarthrose) ? En tout cas, des indices le laissent penser.

L’arthrose est l’une des causes les plus connues de douleurs articulaires. Contrairement à ce que beaucoup pensent, on peut en souffrir à tout âge. Si le risque augmente avec le vieillissement, on constate de plus en plus de cas chez les jeunes, notamment les sportifs.

Une puce électronique insérée dans la prothèse de genou pour vérifier son bon fonctionnement : cette innovation pourrait beaucoup aider les médecins et les patients.

Les cas d’arthrose du genou (gonarthrose) ont augmenté de manière importante au cours de ces dernières décennies. Comment expliquer ce phénomène ?

L'arthrose du pouce, ou rhizarthrose, représente environ un tiers des cas d'arthrose. Souvent d'origine professionnelle, elle touche davantage les femmes que les hommes, et en particulier au-delà de 50 ans. Elle est particulièrement douloureuse et invalidante. Voici les symptômes et les traitements.

En cas d’arthrose du genou (gonarthrose), l’empathie, le soutien, la bienveillance du partenaire jouent un rôle important dans la capacité à faire face à la maladie, au-delà du sentiment de bien-être.

Les personnes en surpoids ou obèses s’exposent à un risque nettement accru de gonarthrose : la perte de poids ralentit considérablement la dégradation du cartilage du genou.

La pose d’une prothèse de genou en cas d’arthrose (gonarthrose) est de plus en plus fréquente. Le problème, c’est qu’elle risque d’intervenir trop tôt, sans bénéfice majeur pour le patient.

En cas d’arthrose sévère du genou (gonarthrose) ou de la hanche (coxarthrose), la pose d’une prothèse doit être envisagée. L’une des interrogations porte sur le risque de ré-intervention après un certain laps de temps.

Des études récentes remettent en question le paracétamol comme premier choix pour soulager la douleur liée à l’arthrose du genou (gonarthrose) et de la hanche (coxarthrose).

La douleur et l’invalidité en cas d’arthrose sont très variables d’une personne à l’autre, alors que la sévérité de la maladie est similaire. L’élément psychologique est important, notamment dans l’atteinte du genou (gonarthrose).

Les exercices de résistance aquatique apportent un réel bienfait aux personnes souffrant d’arthrose, en l’occurrence lorsqu’elle affecte le genou (gonarthrose).

En cas d’arthrose du genou (gonarthrose), la probabilité que la pose d’une prothèse soit nécessaire est fortement liée au poids : les kilos en trop font une grande différence.

En cas d’arthrose de la hanche (coxarthrose), l’association entre la douleur exprimée (ou non) par le patient et les signes radiologiques n’est pas claire, loin s’en faut.

Le surpoids et l’obésité sont associés au risque de développer une arthrose du genou (gonarthrose) ou d’accélérer sa progression. La perte de 10% de son poids joue un rôle bénéfique majeur.