Le diabète de type 2 (DT2) est considéré comme un facteur majeur de risque cardiovasculaire. Pourtant, il semblerait que le respect des objectifs thérapeutiques atténue considérablement cette association.
Ce test vous permettra de savoir si vous présentez un risque élevé de souffrir dans les dix ans à venir d'un diabète de type 2. Ce test est basé sur une étude scientifique.
Les personnes diabétiques s’exposent à un risque cardio et cérébrovasculaire spécifique : le respect d’un mode de vie sain, reposant sur quatre facteurs clés, exerce un effet préventif majeur.
Hypertension, diabète, excès de cholestérol : pour une meilleure qualité de vie, les personnes à risque cardiovasculaire ont tout intérêt à pratiquer une activité physique régulière.
Un taux trop faible de vitamine D est associé à un risque plus élevé de développer un diabète de type 2. A l’inverse, un taux satisfaisant présente un effet protecteur.
Le diabète est aujourd’hui scindé en deux types (DT1 et DT2), mais une classification plus fine permet de dégager cinq groupes : le diagnostic et le traitement en seront améliorés.
Il existe des indications selon lesquelles une consommation légère à modérée d'alcool (jusqu'à deux verres par jour) réduit le risque de diabète de type 2 par rapport à la non-consommation. Par contre, une consommation élevée augmente le risque.
Faire l’impasse sur le repas du matin est une (très) mauvaise idée : cela dérègle nos horloges biologiques, avec un effet sur la glycémie et le poids corporel.
La vitamine D peut-elle permettre de « réparer » les artères endommagées par des maladies comme l’hypertension, le diabète ou l’athérosclérose ? C’est bien possible.
La consommation modérée d'alcool n'est pas prohibée si vous êtes diabétique, mais des mesures de prudence doivent être respectées. Quels conseils faut-il suivre ?
Les bouffées de chaleur à la ménopause, surtout s’il s’agit de sueurs nocturnes, augmentent sensiblement le risque de diabète : il est important d’adapter son mode de vie.
La consommation raisonnable d’alcool protégerait contre le risque de développer un diabète de type 2 (DT2), et ceci vaut autant pour les hommes que pour les femmes.
L’hypertension gravidique et le diabète gestationnel augmentent considérablement le risque de souffrir plus tard d’une hypertension artérielle et d’un diabète, et si ceci vaut surtout pour la maman, le papa est aussi concerné.
En cas de pré-diabète, il est important de réagir énergiquement, car dans le cas contraire, le risque est élevé d’évoluer à court ou moyen terme vers le diabète. L’adaptation des habitudes de vie joue un rôle clé.
L’âge de la ménopause influence le risque de développer un diabète de type 2 (DT2). La ménopause tardive exerce un effet protecteur, contrairement à la ménopause précoce.
L’avocat recèle des propriétés étonnantes : les qualités nutritionnelles de ce fruit, riche en nutriments bénéfiques, exerceraient un effet protecteur contre des risques de santé (très) sérieux.
La prise en charge du diabète repose aujourd'hui sur une panoplie de traitements pratiquement personnalisés, de plus en plus performants et qui rendent les soins de moins en moins contraignants. Que faut-il savoir ?
Le brocoli, et en tout cas l’une de ses substances actives, le sulforaphane, peut-il contribuer à faire baisser la glycémie chez les patients diabétiques ? La piste paraît prometteuse.
L’effet yo-yo est un phénomène classique à la suite d’un régime amaigrissant : la personne reprend du poids, puis en perd lors du régime suivant, puis en reprend… A quels risques s’expose-t-elle ?
Les légumineuses (légumes secs), et en particulier les lentilles, exercent un effet protecteur contre le diabète de type 2 (DT2) : augmenter ses apports s’avère très bénéfique.
Votre médecin devrait-il vous prescrire un certain nombre de pas à effectuer chaque jour ? Cette « ordonnance » semble en tout cas aider à atteindre les recommandations en matière d’activité physique.
Pour la première fois, un lien de cause à effet a pu être établi entre l'excès de graisse dans le ventre, le risque de diabète de type 2 et celui de maladie cardiovasculaire (coronopathie).
Hypertension, diabète et maladie coronarienne : chacun de ces problèmes de santé affecte le cerveau, et la situation empire lorsque les soucis s’accumulent.