Les jeunes obèses accusent un déficit important en testostérone, ce qui ne va pas sans risques pour le fonctionnement sexuel.

Une calculatrice en ligne permet d’estimer le risque d’obésité chez l’enfant et ceci dès son plus jeune âge.

Tant chez les femmes que chez les hommes, un excès de graisse abdominale contribue à la fragilisation osseuse, avec un risque d’ostéoporose.

Même en cas de perte de poids importante, les personnes (ex)obèses continuent à souffrir du « regard des autres » : la stigmatisation persiste.

Rallonger le temps de sommeil des petits dormeurs permettrait de limiter la prise de poids.

Les enfants en surpoids semblent présenter une déficience dans la perception des saveurs : compensent-ils en mangeant trop ?

Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) concernent une population de plus en plus jeune, constate cette étude américaine.

L’obésité est un facteur de risque cardiovasculaire connu. Toutefois, ce n’est pas une généralité : la condition physique joue un rôle déterminant.

Le simple fait de compter le nombre de bouchées permet de limiter la quantité de nourriture ingérée.

Les adolescents qui se considèrent trop enrobés, malgré un poids parfaitement normal, risquent effectivement de se trouver en surpoids quelques années plus tard.

Une alimentation riche en choline pendant la grossesse influe positivement sur les niveaux de stress du nourrisson.

L’obésité abdominale est associée à un risque (nettement) accru de présenter des troubles urinaires et/ou une dysfonction érectile.

Les femmes qui ont été confrontées à l’effet yo-yo des régimes amaigrissants ne doivent pas se décourager : une perte de poids durable est toujours possible.

Votre enfant affiche quelques kilos en trop : voici quelques conseils qui lui feront perdre du poids sans trop de difficultés.

Dans quelle mesure la consommation d’amandes intervient-elle utilement dans le cadre d’un régime amaigrissant ?

La chirurgie de l’obésité (chirurgie bariatrique) agit de manière préventive contre le développement du diabète chez les personnes obèses.

Lors du sevrage tabagique, la prise de poids est rapide et importante durant les deux premiers mois. Par la suite, la situation se stabilise.

La prévention de l’obésité et la lutte contre le surpoids passent par un régime alimentaire équilibré. Mais le moment où l’on mange joue aussi un rôle important.

La dépression et l’indice de masse corporelle (IMC) amplifient les symptômes de la gonarthrose.

Après un régime amaigrissant, maintenir son poids constitue un véritable défi, qui se solde très souvent par un échec. Et si la solution résidait dans le gras ?

A priori, le café est la boisson hypocalorique par excellence. Mais ce n'est pas toujours le cas : selon la manière dont il est préparé, un café peut fournir entre 100 et 600 kcal !

Un régime amaigrissant – contrôlé médicalement ! - durant la grossesse ne porte pas à conséquence pour l’enfant, alors qu’il induit un impact très bénéfique.

Les femmes souffrant d’un burn out sont plus à risque de comportements alimentaires favorisant la prise de poids. Et quand elles veulent maigrir, c’est compliqué.

La durée du sommeil influe sur l’indice de masse corporelle (IMC). Et dormir moins d’heures ne signifie pas prendre moins de kilos.

Pour maigrir : trois repas par jour ou davantage en plus petites portions ? Aucune différence, en fait.

Les enfants nés par césarienne sont deux fois plus nombreux à développer une obésité. Le lien statistique semble clair. L’explication, par contre…

L’association est étonnante : l’obésité infantile nuit aux résultats en mathématiques.

Plus les premières règles surviennent tôt, plus le risque de développer un diabète à l’âge adulte est élevé.

Trop de parents méconnaissent les facteurs de risque de surpoids chez l’enfant, et singulièrement la sédentarité.

Comment expliquer qu’après un régime amaigrissant, il est fréquemment observé un retour au poids initial, voire davantage ? Le facteur génétique serait à exclure.