Le jeu pathologique repose sur une dose importante d’impulsivité, mais aussi sur des raisonnements de type superstitieux, indique une étude britannique.
La manière dont nous mémorisons les informations a sensiblement évolué depuis l’apparition, et la généralisation, d’Internet. En fait, le cerveau « stocke » moins d’informations, mais sait mieux comment les retrouver.
Une étude américaine montre que la consommation excessive d’alcool durant l’adolescence affecte le développement du cerveau, singulièrement chez les jeunes filles.
La pratique d’un instrument de musique dès le plus jeune âge aide à prévenir le déclin de l’audition et de la mémoire auditive jusque très tard dans l’existence.
Une expérience réalisée sur des souris a mis en évidence le mécanisme cérébral qui explique la prise de poids lors de l’arrêt du tabac. La voie est ouverte pour des études sur l’homme.
Les bébés qui pleurent de manière excessive et persistante seraient plus susceptibles de développer des troubles du comportement plus tard dans l’enfance.
Les personnes qui intègrent un réseau social élargi affichent une augmentation significative du volume de certaines parties de leur cerveau, en particulier l’amygdale.
Ce n’est pas aux parents qu’il faut le dire : l’adolescence représente certainement la période de transition majeure, cruciale, dans le développement psychologique de l’enfant.
En 30.000 ans, le volume de notre cerveau a diminué d’environ 10%. Une mauvaise nouvelle ? Pas du tout ! Au contraire : les spécialistes considèrent que ce processus est un indice de civilisation.
Un taux de cholestérol ou une tension artérielle trop élevés seraient liés à un déclin précoce des facultés cognitives, comme la mémoire, le raisonnement, la concentration ou la prise de décision.
A l’issue de recherches effectuées sur des rats, des scientifiques américains ont identifié le rôle crucial d’une hormone – connue sous le nom d’IGF-II - dans les mécanismes de mémorisation.
Les enfants qui sont bilingues avant l’âge de 5 ans présentent un risque nettement accru de souffrir de bégaiement, et il s’avère plus compliqué de résoudre le problème.
La stimulation électrique, par de simples électrodes placées sur le crâne, de zones particulières du cerveau multiplie par trois la capacité de résoudre des énigmes.
Des chercheurs américains se sont intéressés à la manière dont l’obligation d’afficher de la bonne humeur dans le cadre de ses activités professionnelles pouvait influer sur la santé. Résultat : ce n’est pas bon du tout.
Etonnant ! Une étude australienne établit un lien entre la taille et les résultats scolaires, en affirmant que les enfants les plus petits sont confrontés à davantage de difficultés d’apprentissage
Le respect des principes fondamentaux du régime alimentaire méditerranéen permet de retarder, notablement, le déclin des capacités cognitives (mémoire, perception, résolution de problèmes…) chez les personnes âgées.
Un large éventail d’études se sont intéressées au lien entre activité physique et performances intellectuelles à l’âge adulte. Une équipe de chercheurs espagnols vient de démontrer que la pratique régulière d’un sport améliorait aussi les capacités mentales de nos jeunes.
C’est le Journal international de médecine (Jim) qui nous l’apprend : le lavage des mains permet de valider, de s’en tenir aux décisions que l’on vient de prendre, les choix pour lesquels on a opté !