Le coryza du chat est une maladie particulièrement contagieuse et potentiellement mortelle. Plusieurs virus en sont à l’origine, alors qu’une surinfection bactérienne complique la situation.
Vecteurs d’un grand nombre de micro-organismes, les tiques (en tout cas certaines espèces) seraient également responsables de graves réactions allergiques… à la viande.
Minuscules bestioles, mais grands effets : les puces sont non seulement particulièrement désagréables pour nos compagnons, mais risquent aussi de provoquer des affections sérieuses.
Les moustiques femelles (ce sont elles qui piquent) sont attirés par l’odeur. Les bactéries de la peau jouent un rôle crucial, et leur nature explique la raison pour laquelle certains sont des « victimes » désignées.
Côtoyer un animal domestique – un chien ou un chat – durant la première année de vie réduirait de moitié le risque de souffrir, à l’âge adulte, d’une allergie à ces petits compagnons.
Non seulement ils détestent les odeurs de cuisine, mais en plus le perroquet et la perruche peuvent transmettre la psittacose, une infection bactérienne.