La fluidité verbale est reconnue comme un indicateur important des capacités cognitives : un test sur les verbes fournit des informations précieuses.

Le phénomène est universel : au fur et à mesure que l’on avance en âge, le temps paraît passer de plus en plus vite, il file. Comment expliquer cela ?

Pour la plupart d’entre nous, il est extrêmement difficile de soutenir le regard d’un inconnu (ou même d'un proche) : combien de temps s’écoule-t-il avant de se sentir mal à l’aise ?

Les hommes et les femmes ne regardent pas le visage d’un inconnu de la même manière : ils fixent leur attention sur des zones différentes.

La pratique du puzzle améliore une série de fonctions cognitives. En fait, plus largement, les exercices mentaux nouveaux ou difficiles musclent efficacement le cerveau.

L’isolement expose à des risques extrêmement importants de dégradation de la santé physique et mentale. Partager du temps avec les amis et la famille dresse une barrière contre la dépression.

Le sommeil n’isole pas le cerveau de son environnement : il ne dort que d’une oreille, écoute les sons environnants et procède à des tris.

La perte d'audition augmente sensiblement le risque d’isolement social et de dépression chez les seniors. Le port d’un appareil auditif est d’une grande importance.

Ceux et celles qui détestent cela vont bondir, mais il s’avère que la vaisselle à la main peut être considérée comme une forme de méditation, avec de réels bienfaits mentaux.

Lorsque deux personnes se rencontrent pour la première fois, la manière dont un simple « bonjour » est prononcé peut faire une très grande différence.

La mémoire se détériore lentement et progressivement avec l'âge qui avance. En cas de démence, comme la maladie d'Alzheimer, le processus est beaucoup plus rapide et bien plus prononcé. Perte de mémoire ou démence : quels signes doivent alerter ?

La perte auditive est associée à un risque accru de démence : la baisse de l’audition intervient-elle aussi dans les problèmes de mémoire ?

L’ennui est considéré comme une émotion négative : pourtant, le fait de s’ennuyer pourrait améliorer la créativité, pour autant qu’on se place dans des conditions favorables.

Le chant pourrait beaucoup aider à se sentir bien mentalement, avec des bénéfices supplémentaires en cas de participation à une chorale.

On parle de relation on - off : les partenaires se séparent, se remettent ensemble, se séparent à nouveau, et ainsi de suite. Cette situation peut engendrer une grande détresse.

La consommation régulière de fruits et de légumes protège le cerveau contre le déclin cognitif, en particulier la mémoire. Et un jus d’orange tous les jours exerce un effet très bénéfique.

Au fur et à mesure que les années passent, la relation au sein du couple tend vers des comportements marqués par les émotions positives.

La difficulté à contrôler ses pulsions sexuelles renvoie classiquement à un problème masculin. Pourtant, la proportion de femmes présentant ce trouble n’est pas très éloignée de celle des hommes.

Différent du burn out et du bore out, le concept de brown out se caractérise par une perte d’énergie et de motivation liée au fait que le travailleur considère que les tâches qui lui sont demandées n’ont pas de sens ou qu’elles sont dévalorisantes par rapport à ses compétences.

L’environnement dans lequel on mange peut modifier la perception de l’aliment, et en particulier son goût. En fait, pendant un repas, tous nos sens sont en éveil.

Une alimentation saine contribue à préserver la bonne santé du cerveau : c’est le cas notamment de l’hippocampe, une structure d’une grande importance.

Une alimentation de haute qualité nutritionnelle est particulièrement bénéfique pour la santé mentale, et en particulier face au risque de dépression.

Les polyphénols contenus dans le raisin et le bleuet agiraient de manière bénéfique sur les fonctions cognitives, et en particulier sur la mémoire.

Pourquoi certains sont-ils « naturellement » des leaders, alors que d’autres expriment une réelle aversion face à ce type de responsabilité ?

Le phénomène est très intéressant à observer et à étudier : beaucoup d’entre nous se heurtent à de réelles difficultés lorsqu’il s’agit d’exprimer sa gratitude. Comment expliquer cela ?

Le phénomène est quasiment automatique : quand une conversation compte plus de quatre intervenants, la discussion est scindée en groupes plus petits. Comment expliquer cela ?