Les troubles du sommeil sont légion durant cette période. La méditation et la marche peuvent aider à retrouver des nuits paisibles.

Le taux de vitamine D a été associé au risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Mais un autre paramètre important doit être pris en compte : la qualité du sommeil.

En observant le comportement d’un chat d’intérieur, on peut penser qu’il dort - ou en tout cas sommeille - davantage qu’un congénère plutôt vagabond. Impression ou réalité ?

Il est vraisemblable que le sommeil soit indispensable à toutes les espèces du règne animal. Ce qui diffère fortement, c’est la durée. Quels sont les plus gros et les plus petits dormeurs ?

Enfants ou adultes, les mouvements de balancier ont un effet puissant sur l’induction du sommeil. Quels sont les mécanismes qui entrent en jeu ?

La qualité du sommeil est directement associée à la santé du cœur. Un mauvais sommeil expose à une augmentation importante du risque d’insuffisance cardiaque.

Globalement, le sommeil des femmes est plus perturbé que celui des hommes, et ceci dès le jeune âge. Comment expliquer ce phénomène ?

Le sommeil est crucial pour notre bon fonctionnement, et même vital pour notre survie. On apprend que sa fonction varie selon l’âge, avec un très net changement vers 2 - 3 ans.

La qualité du sommeil influence notre capacité à gérer nos émotions durant la journée. Il en va ainsi de la colère, qu’un mauvais sommeil, en particulier de trop courte durée, risque d’amplifier.

Par la consolidation des apprentissages, le sommeil joue un rôle clé dans le processus de mémorisation. Mais que se passe-t-il dans le cerveau ?

La qualité du sommeil, et en particulier du sommeil profond, pourrait-elle être prédictive du risque de maladie d’Alzheimer ? C’est bien possible, et ceci dégage aussi des possibilités d’intervention.

De nombreuses personnes souffrent de cauchemars chroniques qui perturbent fortement leurs nuits. Ces mauvais rêves sont le reflet des émotions vécues pendant la journée, et en particulier nos inquiétudes. Une bonne hygiène de sommeil et des techniques ciblées peuvent contribuer à résoudre le problème des cauchemars à répétition.

Pour prévenir le mal de dos ou pour ne pas l'aggraver, le choix du matelas est important, tout comme la position pour dormir. Les situations individuelles sont très différentes, mais voici néanmoins des conseils dont beaucoup peuvent s'inspirer pour le confort du dos pendant le sommeil.

Pour dormir dans les meilleures conditions, il est important que la literie - matelas, oreillers, draps... - soit bien entretenue. Voici les conseils à suivre.

L’observation est étonnante. Quand on dort à deux, les phases de sommeil des partenaires ont tendance à se synchroniser. Mieux : la phase de sommeil paradoxal (celle des rêves) est améliorée, avec un effet positif sur la cognition et la santé mentale.

De plus en plus d'études insistent sur les bienfaits physiques et mentaux de la sieste. De quels effets bénéfiques parle-t-on ?

La privation de sommeil favorise la prise de poids en raison de perturbations métaboliques et de choix alimentaires moins sains après une mauvaise nuit. L'inverse est vrai aussi : le surpoids peut perturber le sommeil.

Plusieurs facteurs interviennent dans le risque d’athérosclérose, c’est-à-dire l’obstruction progressive des artères. Un mauvais sommeil en fait partie, mais pourquoi ?

Votre sommeil est de meilleure qualité lorsque votre partenaire dort à vos côtés ? Il est bien possible que cela soit lié à son odeur naturelle, qui exercerait un effet apaisant.

Votre enfant se réveille la nuit, il hurle et vous avez beaucoup de mal à le calmer ? Il n’a probablement pas fait un simple cauchemar, mais une crise de terreur nocturne. De quoi s'agit-il et comment réagir ?

Microbes, acariens, poussières, résidus chimiques... : la chambre est un espace à haut risque de pollution de l'air. Que faut-il faire pour l'assainir autant que possible ?

Pendant la phase de rêve, le cerveau supprime des informations provenant du monde extérieur, comme les bruits d’une conversation. Comment et pourquoi ?

De nouvelles recherches mettent en évidence une association entre le sommeil et le risque de maladie cardiovasculaire, et elles insistent sur l'importance d'une durée satisfaisante.

Environ la moitié des adultes dorment en couple. Beaucoup apprécient, d’autres (bien) moins. En fait, nous ne sommes pas tous compatibles, et en cas de problème, il faut chercher des solutions pour un meilleur sommeil.

La nuit porte conseil, dit-on. Il semblerait bien que pendant le sommeil, le cerveau continue à « travailler » pour nous aider à résoudre certains problèmes.

Quelle est l’association entre la durée du sommeil nocturne et diurne (sieste) et le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) ?

La peur que l’on ressent dans les rêves pourrait nous préparer à affronter des situations angoissantes vécues en phase d’éveil.

Les personnes qui s'accordent une ou deux siestes par semaine courraient moins de risques d'être frappées par un infarctus ou un AVC. Comment expliquer cela ?