Le « syndrome du stress alimentaire » gagne du terrain. Il se traduit par le souci de modifier périodiquement ses comportements nutritionnels, pour les adapter à la « norme ».
La crainte de compliquer leur état de santé conduit beaucoup de patients souffrant d’une maladie cardiovasculaire à réduire la fréquence des rapports sexuels, voire à les bannir.
Des chercheurs américains ont analysé les statistiques des naissances au Chili après le tremblement de terre de Tarapaca. Les résultats sont étonnants.
Transports en commun et voiture : les travailleurs qui empruntent ces modes de locomotion pour se rendre au boulot subissent plus de stress au quotidien. Et ça fait du monde…
Parmi les astuces pour lutter contre un excès de stress, voire une poussée d'adrénaline, en cours de journée ou en rentrant du travail, il y a le Tea Time.
Voici quelques trucs et astuces (liste non exhaustive)à appliquer au quotidien pour évacuer une trop grande tension, un stress récurrent voire exponentiel.
Par quel mécanisme le stress nous incite-t-il à consommer des aliments « réconfortants », à forte teneur en calories ? Tout est dans l’action de la ghréline, l’hormone de la faim.
La plupart des maux de dos sont sans gravité. Néanmoins, on dénombre des situations où il est impératif de consulter un médecin dans les meilleurs délais.
Rester au sommet d’une hiérarchie sociale présente pas mal d’avantages, mais aussi de sérieux inconvénients, comme le démontre une (très) longue expérience conduite dans une population de… babouins.
Le voyage d’affaires identifié comme facteur de risque cardiovasculaire : c’est en tout cas le constat posé au terme d’une vaste étude réalisée aux Etats-Unis.
Les patients qui ont ressenti une peur intense de la mort lors d’un infarctus accusent des lésions cardiaques plus graves et sont davantage à risque de rechute.
L’accumulation des situations de stress subies par la mère, davantage que leur nature, risque d’engendrer des troubles du comportement de l’enfant jusqu’à son adolescence.