Jeunes et moins jeunes, il nous arrive à tous de souffrir de temps en temps de pertes de mémoire. Souffrir est d'ailleurs un bien grand mot : dans la plupart des cas, il n'y a rien d'inquiétant à cela et il est possible de limiter ces épisodes.

Le soutien que l’on apporte à sa famille et à ses amis non seulement leur est bénéfique, mais agit pour soi comme un rempart contre les effets néfastes du stress.

La tempête de pluie verglaçante qui a frappé le Québec en janvier 1998 a laissé des traces chez les enfants de femmes enceintes pendant cette catastrophe naturelle.

Dans une situation stressante, la réaction de l’organisme, et en particulier les paramètres cardiaques, n’est pas la même selon le sexe.

Certains traits de personnalité contribueraient au risque de développer la maladie d’Alzheimer.

Trop de personnes effectuent des tâches professionnelles pendant leur temps libre. Un peu ou beaucoup : peu importe, dans tous les cas, ce n’est pas bon pour la santé.

Grâce à une technique permettant d’agir directement dans le cerveau, des chercheurs sont parvenus à modifier la valeur émotionnelle des souvenirs.

La méditation de pleine conscience (mindfulness) semble agir favorablement contre la migraine, en termes de fréquence et d’intensité.

Les travailleurs confrontés à un stress professionnel important sont particulièrement à risque de développer un diabète de type 2 (DT2).

Les événements stressants vont non seulement inciter à manger plus gras et plus sucré, mais cela provoque aussi un ralentissement du métabolisme, ce qui augmente le risque de prise de poids.

Lorsque le thermomètre grimpe en flèche, la probabilité d’accoucher avant terme augmente. Une association qui mérite d’être approfondie.

Les situations de grand stress vécues pendant la petite enfance peuvent provoquer des modifications de certaines structures cérébrales majeures.

Les événements stressants de l’existence, et en particulier d’ordre professionnel, augmentent le risque de développer une polyarthrite rhumatoïde.

Les facteurs psychologiques contribuent à augmenter très sensiblement le risque de souffrir d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d’un accident ischémique transitoire (AIT).

Pour prévenir la dépression pendant et après la grossesse, les futures mamans pourraient tirer un grand bénéfice de la pratique du yoga.

Les bienfaits de la méditation de pleine conscience (mindfulness) ont été mis en évidence sur le long terme. Ici, on constate un effet très rapide sur la maîtrise du stress.

On considère habituellement que le risque de dépression post-partum (ou post-natale) marque les premiers mois qui suivent l’accouchement, puis s’estompe progressivement. Cette approche doit être nuancée.

Les militaires – ici les Marines américains – peuvent tirer un grand bénéfice de la méditation de pleine conscience.

Une séance de quelques minutes d’activité physique légère entre chaque cours améliore les capacités d’attention et de compréhension des élèves.

Le stress chronique affecte la quantité et la qualité des spermatozoïdes, avec un impact possible sur la fertilité.

La crise financière et économique nuit gravement au coeur. En Grèce, elle a été marquée par une forte augmentation des admissions pour crise cardiaque et fibrillation auriculaire. Et ce qui vaut pour la Grèce...

Des chercheurs américains ont découvert un lien entre la réponse du cerveau dans une situation de stress et les mécanismes augmentant le risque d’infarctus et d’accident cérébral.

Il est beaucoup question de l’impact du stress professionnel, mais la pression familiale et sociale n’est certainement pas en reste.

Un test en ligne permet de déterminer son risque cardiaque, et surtout de réagir en conséquence.

Des chercheurs américains ont mis au point un dispositif très étonnant, où un avatar joue le rôle de psychiatre.

La pratique de l’aquagym agit très favorablement sur la pression artérielle, notamment lorsque le patient répond mal aux médicaments.

La méditation de pleine conscience (mindfulness) peut considérablement aider le personnel infirmier, confronté au quotidien à un stress important.

Il apparaît de plus en plus clairement que le syndrome du côlon irritable est associé à des modifications importantes du microbiote intestinal, que peuvent corriger des changements alimentaires.