Etonnante hypothèse : les pleurs nocturnes du bébé auraient aussi pour fonction de retarder l’arrivée d’un autre enfant.

La dépression post-natale affecte une proportion significative de mamans, mais les papas ne sont pas épargnés par la déprime.

La hantise des mathématiques repose pour une large part sur une composante génétique. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’intervenir.

Une proportion énorme des parents d’enfants en surpoids sous-estiment – nient ? – cette réalité, ce qui ne facilite évidemment pas l’adoption d’habitudes saines.

Forcer le décalottage du gland d’un enfant est inutile, voire dangereux. L’action du temps et une toilette simple suffisent le plus souvent.

Les cas d’enfants intoxiqués par des substituts nicotiniques sont relativement rares mais les conséquences peuvent être très sérieuses. Il faut faire preuve de prudence.

Les parents ne doivent pas hésiter à babiller lorsqu’ils communiquent avec leur bébé : cela favorise l’acquisition du langage.

Il ne faut pas exagérer les compliments adressés à un enfant lorsque celui-ci présente une faible estime de lui-même : cela lui met beaucoup de pression.

Les chutes d’une chaise haute ne sont pas rares, loin s’en faut : les bébés risquent alors des blessures extrêmement graves. Quels conseils peut-on donner aux parents ?

Extraverti ou introverti : le caractère intervient de manière très nette dans la tendance de l’enfant à trop manger, et en tout cas à trop se servir.

Beaucoup d’enfants réagissent (très) mal lorsque leurs parents les mettent au lit. Mais était-ce le bon moment de le faire ?

Face à un aliment liquide ou semi-solide, les bébés peuvent se montrer particulièrement malpropres. Mais s’ils en mettent partout, c’est qu’ils sont en apprentissage.

Lorsqu’un enfant rechigne à manger, les parents adoptent trop souvent des attitudes contre-productives, qui vont encore davantage braquer le môme.

Un enfant victime d’un traumatisme crânien, comme une commotion cérébrale, s’expose à un risque très élevé de souffrir d’une dépression.

La présence de substances potentiellement nocives a été mise en évidence dans une série de produits d’hygiène pour bébés.

Le fœtus est très réceptif aux sons : la musique douce contribue d’ailleurs à son développement cérébral.

Dès l’âge de 18 mois, le bébé perçoit les réactions feintes, non justifiées. Il n’est pas dupe et il ne sert à rien de lui jouer la comédie.

Des chercheurs américains ont mis un point un appareil qui analyse les pleurs de l’enfant et qui pourrait devenir un outil de diagnostic.

Administrer des médicaments à un enfant ne se fait pas à la légère. La vigilance s'impose pour éviter les accidents.

Intégrer de temps à autre de la nourriture en petit pot à l'alimentation de son bébé ne porte pas à conséquence. Néanmoins, il convient de faire attention à une série de choses.

Les jeunes enfants seront beaucoup plus enclins à manger des fruits et des légumes si on leur propose de choisir entre plusieurs possibilités.

La difficulté à acheter une quantité suffisante de couches-culottes est identifiée comme un indicateur important des problèmes financiers auxquels sont confrontées les mamans.

Les bonbons arrivent en tête de liste des causes alimentaires d’étouffement chez les enfants pris en charge aux urgences.

Voici quelques conseils pour éviter que bébé soit infecté par le virus respiratoire syncytial (VRS), avec le risque de souffrir d'une bronchiolite.

Obliger un jeune enfant à partager (ses jouets, par exemple) va avoir un effet contre-productif, estiment des psychologues américains.

Entre les préoccupations familiales et les obligations professionnelles, les pères et les mères ne réagissent pas de la même manière.