Il n’y a pas que la quantité d’alcool ingérée qui compte, mais aussi la fréquence : des experts britanniques estiment que les recommandations, dans ce domaine, doivent évoluer.
La consommation d’alcool n’affecte pas la conscience de commettre des erreurs, mais réduit notablement l’intensité avec laquelle nous nous en inquiétons.
Les femmes qui fument s’exposent à un risque accru de 25% de souffrir d’une maladie cardiaque par rapport aux hommes fumeurs. Pourquoi ? La réponse n’est pas claire.
Une étude américaine démontre que le bronzage artificiel déclenche des réactions dans le cerveau similaires à celles observées chez les sujets dépendants à la drogue.
Les résultats d’une enquête française apportent des renseignements intéressants sur le phénomène du grignotage, et en particulier sur les différences entre hommes et femmes.
Les ongles des orteils pourraient devenir un indicateur simple permettant de détecter le degré d’exposition à la nicotine, et dès lors le risque de cancer du poumon.
Une étude américaine insiste sur le fait que la consommation de boissons énergisantes, particulièrement appréciées par les jeunes, présente des risques dont la nature et l’intensité sont encore largement méconnues.
Une étude confirme que les fumeurs s’exposent à un risque majeur de complications lors d’une intervention chirurgicale, et ajoute que le danger est proportionnel à l’importance du tabagisme.
Parmi les nombreux méfaits liés au tabagisme de la femme enceinte, il s’avère que celui-ci fait baisser le taux de « bon » cholestérol chez l’enfant, avec un impact jusqu’à l’âge adulte.
Les partisans d’une interdiction stricte et générale de fumer dans les lieux publics tiennent un nouvel argument : la dépendance à la nicotine touche aussi les non fumeurs !
Les patients atteints d’un cancer de la prostate et fumeurs au moment où le diagnostic est posé courent un risque considérablement plus élevé de récidive après traitement, et de mortalité.
Une expérience-pilote conduite en Angleterre montre que le fait d’envoyer régulièrement des SMS (des textos) d’encouragement aux fumeurs en période de sevrage les aide à tenir le coup.
Une étude américaine montre que la consommation excessive d’alcool durant l’adolescence affecte le développement du cerveau, singulièrement chez les jeunes filles.