La période du cycle menstruel agit notablement sur la relation de couple, et plus particulièrement sur l’attraction ressentie par la femme pour son partenaire.

L’échange de sourires est un processus naturel, motivé par le besoin de renforcer les liens sociaux, de se trouver en harmonie avec son vis-à-vis. Mais dans quelle mesure le statut social influence-t-il ce comportement ?

Percevoir l’ironie ne va pas de soi : ce processus mobilise une zone très spécifique du cerveau.

La « simple » poignée de main sollicite des zones spécifiques du cerveau, ce qui va donner à ce geste tout son sens social.

La communication pendant l’acte sexuel renforce la satisfaction. Mais ce n’est pas évident pour tous.

Ce test évalue trois aspects importants d'une relation amoureuse : l'intimité, la passion et l'implication. Il pourra ainsi vous aider à mieux cerner les points forts et les points faibles de votre couple.

Une étude canadienne s’est penchée sur le sens profond des cadeaux ramenés de Terre Sainte par les grands-mères.

Partager avec son bébé des expériences musicales contribue à améliorer ses capacités de communication, tout en l’apaisant.

Les hommes qui s’impliquent dans les activités domestiques se sentent beaucoup mieux dans leur peau.

Le sentiment amoureux est spécifiquement « traité » par le cerveau. Mais par quelle région cérébrale et de quelle manière ?

Des chercheurs ont identifié des gènes et des fonctions biologiques qui interviennent dans la formation du couple.

Jouer contre un adversaire humain ou contre un ordinateur ne mobilise pas les mêmes régions du cerveau.

En termes de relations familiales et de développement de l’enfant, quel est l’intérêt du repas en famille ?

Pour vieillir sereinement, les relations familiales et sociales sont une priorité.

Le seul fait que l’homme touche une femme provoque chez elle une augmentation significative de la température de la peau du visage.

Les émotions fortes déclenchent un phénomène de synchronisation de l’activité cérébrale entre les individus.

L’amour du père joue un rôle crucial dans le développement de l’enfant. Le rejet est vécu très douloureusement.

La planification des rapports sexuels conduit à des troubles de l’érection dans une proportion importante de cas.

Le risque de mort subite coïtale augmente en flèche lorsque l’homme entretient un rapport sexuel avec sa maîtresse.

L’affrontement ou la fuite ne sont pas les seules alternatives face à un stress aigu : la coopération joue un rôle important.

Le soutien apporté par les parents lors du coming out de leur enfant intervient de manière cruciale dans son parcours.

Aucun sport, aucun pays n’est épargné : le harcèlement sexuel des athlètes est un problème majeur.

Parler de soi active les zones du cerveau associées au plaisir ; les mêmes qui sont stimulées lors des rapports sexuels.

Un risque « collectif » menaçant la vie d’une centaine de personnes est considéré comme le « pire » péril. Pourquoi ? Parce que ce nombre correspond à celui de notre cercle social.

L’observation de l’activité cérébrale permettrait de prédire, plusieurs mois à l’avance, la prise de poids et l’activité sexuelle !

L’homophobie serait une conséquence relativement fréquente d’une homosexualité refoulée : l’attitude des parents interviendrait de manière déterminante.

Les conjoints de patientes souffrant d’un cancer du sein s’exposent à des niveaux de stress extrêmement élevés, avec un éventail de symptômes physiques.

Le fait d’être marié augmente considérablement les chances de survie des patients opérés du cœur, par rapport au célibat.

L’espèce humaine est unique dans sa capacité à accumuler les connaissances culturelles. La clé, c’est le partage.