En complément du traitement par médicaments (antipsychotiques), un supplément de vitamine B contribue à soulager les symptômes des patients souffrant de schizophrénie.

Les causes de la schizophrénie et des troubles dits « affectifs » (troubles de l'humeur) sont encore largement méconnues : néanmoins, un contexte infectieux pourrait jouer un rôle important.

L’activité physique améliore sensiblement une série de capacités mentales fragilisées chez les patients schizophrènes. Plus la pratique est élevée, plus le bénéfice est important.

Contrairement à ce que beaucoup pensent, la schizophrénie ne se manifeste pas par un dédoublement de la personnalité. Les symptômes sont classés en quatre catégories : positifs, négatifs, affectifs et cognitifs.

Une alimentation riche en acides gras oméga-3 exerce un effet hautement protecteur contre le risque de développer une psychose.

La créativité partage des caractéristiques génétiques troublantes avec des maladies mentales comme la schizophrénie et le trouble bipolaire.

Le syndrome d'achats compulsifs se caractérise par des épisodes répétitifs durant lesquels une personne succombe à un désir, vécu comme irrésistible, d’acheter des biens. Comment apprendre à contrôler ces pulsions ?

Le fonctionnement cérébral des patients schizophrènes montre des particularités qui pourraient aider à mieux expliquer les symptômes de la maladie.

Des stimulations électriques diffusées par des électrodes implantées dans le cerveau permettent de renforcer la maîtrise de soi.

Angoisse, peur, joie, plaisir, tristesse… : les émotions les plus courantes provoquent des réactions corporelles spécifiques. Des chercheurs en ont dressé la carte.

Face à la souffrance de l'autre, le cerveau des psychopathes réagit de manière très particulière. Une nouvelle piste de traitement se dessine-t-elle ?

Une équipe américaine a identifié d’importantes concentrations d’une protéine dans le sang de patients suicidaires. Une piste est ouverte.

Un défaut de connexion entre deux zones du cerveau pourrait expliquer des symptômes majeurs de la schizophrénie, comme le délire et les hallucinations.

L’appartenance à un gang expose à de sérieux problèmes psychiatriques, qui devraient être mieux pris en charge par des services de proximité spécialisés.

Les psychiatres analysent les tueries de masse et s’interrogent sur le lien entre ces événements et la maladie mentale.

Les psychopathes présentent des configurations cérébrales très particulières et certaines de ces singularités peuvent être observées dès leur jeune âge.

La maladie mentale est plus fréquente au sein des professions artistiques et scientifiques.

Un traumatisme crânien durant l’adolescence accroît-il les risques de plonger, plus tard, dans la délinquance ?

L’observation de la longueur des doigts permet d’évaluer la propension à l’agressivité verbale.

Etonnante observation : les individus à tendance psychopathique présentent des capacités olfactives amoindries.

La sexualité compulsive est un trouble connu, mais curieusement, il n’existait pas encore de critères formels de diagnostic.

Une psychothérapie cognitivo-comportementale assurée par téléphone peut être aussi efficace que lorsqu’elle se déroule au cabinet du thérapeute.

Une nouvelle étude confirme combien le ronflement de l’enfant ne doit jamais être négligé.

Les « amasseurs » sont incapables de jeter quoi que ce soit. Les spécialistes parlent de « trouble de la thésaurisation ». Que se passe-t-il dans le cerveau ?

L’homophobie serait une conséquence relativement fréquente d’une homosexualité refoulée : l’attitude des parents interviendrait de manière déterminante.

Trichotillomanie et trichophagie, vous connaissez ? Ces troubles – s’arracher les cheveux et, le cas échéant, les avaler – ne sont pourtant pas rares.

Dans les mois qui ont suivi la fusillade au collège Dawson (Montréal), un nombre important d’étudiants sont devenus dépendants à l’alcool et à la drogue.

La consommation de cannabis accélère l’apparition des troubles psychotiques chez les personnes prédisposées.

Les adolescentes présentant un excès de poids s’exposent à un risque accru d’automutilation, une pratique permettant d’extérioriser leur souffrance émotionnelle.