Pour les uns, entretenir des relations sexuelles avec un préservatif n'offre pas la même sensation que sans ; alors que pour les autres, c'est du pareil au même, voire... mieux avec certains modèles.

La consommation abusive d’alcool et la dépendance aux drogues (douces ou dures) nuit sévèrement et durablement à la santé sexuelle.

L’utilisation du préservatif n’altère pas le plaisir de la relation sexuelle. Un élément important pour inciter à y recourir lorsque la situation l’exige.

On ne le dira jamais assez : passer du contact virtuel à la « vraie » rencontre expose les jeunes filles à des risques (très) sérieux.

La pratique de plus en plus fréquente de l’épilation pubienne sonne-t-elle l’hallali du morpion ?

Une association très nette est établie entre la maladie parodontale et la dysfonction érectile.

Le ginseng présente-t-il un intérêt contre les troubles de l’érection et de l’éjaculation ? Peut-être, mais il est alors très modeste.

La libération d’ocytocine lors de l’orgasme féminin présenterait d’intéressantes propriétés contre la dépression.

Plus le tour de taille est important, plus s’élève le risque de présenter des troubles de la miction et de l’érection.

Les jeunes obèses accusent un déficit important en testostérone, ce qui ne va pas sans risques pour le fonctionnement sexuel.

Des rapports sexuels peu de temps avant une compétition sont-ils néfastes à la performance sportive ? Sur un plan physique, la réponse est négative.

L’adoption par des couples homosexuels ne nuit pas au développement de l’enfant. Que du contraire, nous disent ces spécialistes.

La période du cycle menstruel agit notablement sur la relation de couple, et plus particulièrement sur l’attraction ressentie par la femme pour son partenaire.

Le diabète, connu comme facteur de risque de dysfonction érectile, influe négativement sur la satisfaction sexuelle des femmes.

Le recours aux ultrasons semble présenter une intéressante efficacité contre la dysfonction érectile.

Les dysfonctions sexuelles féminines sont beaucoup moins évoquées que celles qui affectent les hommes. Pourtant, elles sont fréquentes et les souffrances sont réelles.

La vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) n’induit pas davantage de comportements sexuels à risque chez les jeunes filles.

La sexualité compulsive est un trouble connu, mais curieusement, il n’existait pas encore de critères formels de diagnostic.

La communication pendant l’acte sexuel renforce la satisfaction. Mais ce n’est pas évident pour tous.

Ce test évalue trois aspects importants d'une relation amoureuse : l'intimité, la passion et l'implication. Il pourra ainsi vous aider à mieux cerner les points forts et les points faibles de votre couple.

On sait que le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) retentit sur la sexualité des hommes. Il en va ainsi aussi chez la femme.

Une association a été établie entres les troubles de l’érection et la sensibilité aux hémorroïdes.

Le sentiment amoureux est spécifiquement « traité » par le cerveau. Mais par quelle région cérébrale et de quelle manière ?

Les phases du cycle menstruel influent de manière parfois étonnante sur le comportement. Un héritage des temps lointains.

Après l’acte sexuel, les hommes (enfin…, nombre d’entre eux) sont submergés par l’envie de dormir. Ils n’y peuvent rien : c’est leur cerveau qui commande.

Le seul fait que l’homme touche une femme provoque chez elle une augmentation significative de la température de la peau du visage.

La planification des rapports sexuels conduit à des troubles de l’érection dans une proportion importante de cas.

Aux Etats-Unis, une proportion significative de jeunes prennent des médicaments pour se rassurer sur leur érection.

Une région bien précise du cerveau réagit spécifiquement au toucher physique, et déclenche la réaction émotionnelle qui l’accompagne.

Les hommes obsédés par leur musculature sont aussi les plus enclins à manifester des attitudes sexistes.