Rien à faire : si on consomme trop d’alcool, la gueule de bois est assurée. Manger beaucoup ou avaler de grandes quantités d’eau n’y change pas grand-chose.
Vous buvez régulièrement de l'alcool et vous vous posez des questions sur votre consommation ? Le site belge Aide Alcool propose des solutions pour informer et accompagner les personnes confrontées à ce problème, ou qui craignent qu'il se développe.
Vous êtes impatiente de devenir maman ? Un bon conseil : prenez de l’acide folique avant et pendant les premières semaines de grossesse. Pourquoi ? Il a été prouvé qu’un taux suffisant d’acide folique dans le sang lors de la conception faisait baisser de manière substantielle le risque d’anomalies congénitales.
Jalousie, estime de soi et qualité de la relation amoureuse : la combinaison de ces trois éléments peut conduire à une consommation excessive d’alcool.
Les hospitalisations pour intoxication alcoolique devraient être exploitées pour aborder le problème de fond : ce n’est pas suffisamment le cas, loin s’en faut.
L’ocytocine (« l’hormone de l’amour ») et l’alcool déclenchent des réactions similaires, des comportements – positifs ou négatifs – qui partagent d’étonnants points communs.
L'obésité, le cholestérol, le diabète et l'hypertension sont autant de facteurs de risques cardiovasculaires majeurs. En surveillant le contenu de son assiette, il est possible d'agir contre ces menaces.
Les fonds de bouteille de vin, de cafetière, de brique de jus de fruits ou de casserole de soupe peuvent être facilement réutilisés en cuisine pour donner du relief aux préparations.
La consommation d’un verre d’alcool semble modifier favorablement l’aspect du visage et rendre plus attractif. Mais au-delà de deux verres, c’est l’effet contraire.
L’histoire de Nick Hess a été largement relayée : ce Britannique souffre du syndrome d’auto-brasserie, et devient soûl sans consommer d’alcool. Que se passe-t-il ?
La consommation de bière augmenterait le risque de gonarthrose (arthrose du genou) et de coxarthrose (hanche), alors qu’au contraire, le vin exercerait un effet protecteur.
La consommation d'alcool pendant la grossesse peut avoir des conséquences sévères pour l'enfant : dans les cas les plus graves, on parle de syndrome d'alcoolisme fœtal (SAF), avec des anomalies physiques et comportementales.
Les bienfaits du vin en prévention cardiovasculaire font l’objet d’un débat animé : certains y croient dur comme fer, d’autres sont sceptiques. Voici un nouvel élément.
En cas de dépendance, l’arrêt de l’alcool est considéré par beaucoup comme la seule option vraiment crédible. Toutefois, la réduction de la consommation apparaît de plus en plus comme une alternative possible.
Il est curieux de constater que malgré les symptômes très désagréables de la gueule de bois, cela ne dissuade pas certains de boire à nouveau très rapidement de l’alcool.
La consommation de trois verres d’alcool ou davantage chaque jour accélère le déclin de fonctions cérébrales importantes, comme le raisonnement et la mémoire.
Les consommateurs modérés d’alcool, et en particulier de vin, semblent - relativement ! - protégés contre les troubles cardiovasculaires. Mais mangent-ils aussi différemment, ceci expliquant alors en partie cela ?