L’incontinence urinaire affecte une proportion importante de femmes, avec des répercussions négatives sur leur vie sexuelle. Pourtant, trop de patientes n’osent pas aborder le sujet.
Des chercheurs canadiens ont mis en évidence des différences de mémorisation entre les hommes et les femmes, selon que l’événement soit agréable ou pas.
La crainte de compliquer leur état de santé conduit beaucoup de patients souffrant d’une maladie cardiovasculaire à réduire la fréquence des rapports sexuels, voire à les bannir.
Même en cas de prématurité « modérée », l’enfant est davantage susceptible de présenter des troubles du comportement. Une aide ciblée peut donc s’avérer nécessaire.
Les garçons – et les hommes, par la suite – ne voient pas l’utilité de parler de leurs problèmes. Ils considèrent, en fait, qu’il s’agit d’une perte de temps.
La thérapie par le rire connaît un succès croissant. Une récente étude s’est penchée sur les bienfaits de ces séances pour le moral des personnes âgées.
La masturbation à l’adolescence présente des bénéfices pour le développement sexuel et affectif, tant des filles que des garçons. Mais le sujet reste tabou.