Le syndrome d’apnées du sommeil affecte, dans une large majorité, des personnes en surpoids. Pour elles, maigrir est utile et nécessaire, avec un effet positif sur le long terme.
Un lien direct est établi entre la progression constante de l’obésité et les problèmes de santé bucco-dentaire. En cause : la quantité et la nature du grignotage entre les repas.
Une étude européenne, incluant la Belgique, montre que le surpoids de l’enfant est directement lié à la durée du sommeil. A ceci s’ajoutent les facteurs classiques, comme l’alimentation et l’activité physique.
Des chercheurs espagnols considèrent que l’ingestion de mélatonine pourrait contribuer à combattre l’obésité et les risques cardiovasculaires qui lui sont liés.
Des chercheurs américains ont réussi à remplacer une partie de la « mauvaise graisse » par de la « bonne ». Succès chez le rat. C’est à présent au tour de l’homme.
De très nombreuses femmes considèrent que la prise de poids est l’un des inconvénients majeurs de la pilule contraceptive. Une étude récente affirme qu’il n’en est rien.
Une expérience réalisée sur des souris a mis en évidence le mécanisme cérébral qui explique la prise de poids lors de l’arrêt du tabac. La voie est ouverte pour des études sur l’homme.
Dans le cadre d’un régime amaigrissant, le « petit plaisir » - une fois par semaine, souvent - du dessert calorique est particulièrement contre-productif.
Une nouvelle étude affirme qu’il n’existe pas de lien de cause à effet entre l’utilisation de la pilule contraceptive et la prise de poids… chez le singe.
En 30.000 ans, le volume de notre cerveau a diminué d’environ 10%. Une mauvaise nouvelle ? Pas du tout ! Au contraire : les spécialistes considèrent que ce processus est un indice de civilisation.
Une écrasante majorité des personnes qui ont suivi le régime Dukan, et qui se trouvent en phase de stabilisation, se disent satisfaites de la méthode d’amaigrissement.
Des chercheurs américains ont mis au point une nouvelle mesure qu’ils estiment plus précise que le classique indice de masse corporelle (IMC) pour évaluer l’excès de poids.
Une étude américaine montre qu’il existe une corrélation parfaite entre l’augmentation globale de l’excès poids et la consommation sans cesse accrue des sucres ajoutés.
Des chercheurs ont comparé la prévalence et la localisation des fractures chez les femmes ménopausées, selon qu’elles soient ou non obèses (IMC supérieur à 30).
Les bêta-bloquants, notamment prescrits pour traiter l’hypertension artérielle, entraînent une prise de poids significative, indiquent quatre études récentes. Comment s’explique ce phénomène ?
L’obésité, déjà identifiée comme facteur de risque cardiovasculaire et de développement du diabète (de type 2), pourrait favoriser l’émergence du cancer du sein.
Les stars ne lésinent pas sur les moyens pour décrocher un rôle au cinéma. Beaucoup ont accepté de prendre ou de perdre du poids de manière assez extrême.
Les femmes enceintes souffrant d’obésité présentent une probabilité nettement plus élevée de connaître une grossesse prolongée, de subir un déclenchement artificiel du travail et d’accoucher par césarienne.
Une étude conduite par des chercheurs américains affirme que les horaires de travail de la mère peuvent constituer un facteur de risque « indiscutable » d’obésité de son enfant.